
Je vous parle souvent de prendre soin de vous et votre corps avec des méthodes douces et non invasives…. Donc je vous parle du Pilate et du Yoga.
À une époque où le bien-être est à la mode, deux disciplines ont réussi à s’introduire dans nos vies : le yoga et le pilates. Toutes deux, bien que très populaires, n’en restent pas moins différentes. Bien sûr, elles ont tout de même un point commun puisqu’elles apportent, aux corps et à l’organisme, des bienfaits qui ne sont plus à prouver.
Travail de la souplesse, rééquilibrage de la posture, amélioration du sommeil, gestion du stress ou encore remise en forme : chacun pratique le yoga et le pilates pour différentes raisons. Mais comment choisir ?
COMPRENDRE LE YOGA ET LE PILATES : CONCEPT ET DÉFINITION
LE YOGA, QU’EST-CE QUE C’EST ?
Concrètement, il s’agit est une discipline originaire d’Inde et datant de plus de 5 000 ans. D’ailleurs, le mot « yoga » vient du sanskrit et signifie littéralement « union » et/ou « mise au repos ».
En pratique, le yoga est utilisé principalement pour détendre le corps et l’esprit. Confortablement installé sur un tapis de yoga, au sol, l’idée est de réaliser une série de postures et d’exercices, plus ou moins faciles à effectuer. De cette manière, vous apprenez à mieux respirer, à contrôler votre stress et à retrouver une harmonie du corps et de l’esprit. Les 3 principes fondamentaux du yoga sont : méditation, respiration et relaxation.
Savez-vous qu’aujourd’hui, le yoga est considéré comme une médecine douce ? En effet, ses bienfaits naturels sur l’organisme sont reconnus. Son accessibilité à tous lui offre un avantage incontestable sur d’autres pratiques, car même les personnes âgées peuvent s’adonner au yoga.
QUELS SONT LES BIENFAITS DU YOGA ?
À noter qu’il existe un nombre de variantes du yoga quasiment illimité qui s’adapte pour la plupart à la condition physique du pratiquant. Une femme enceinte ne fera pas les mêmes postures qu’une personne âgée ni au même rythme (dynamique ou doux/calme).
Pour n’en citer que quelques-uns, voici une liste des principaux bienfaits du yoga :
- Améliorer sa souplesse,
- Booster son énergie,
- Perdre du poids,
- Apprendre à respirer correctement,
- Soulager les maux de dos et/ou renforcer son équilibre,
- Augmenter sa confiance en soi,
- Réduire le stress et l’anxiété,
- Améliorer sa concentration,
- Retrouver un sommeil de meilleure qualité,
- Être vif et de bonne humeur…

ET MAINTENANT, LE PILATES, C’EST QUOI ?
Tout bêtement, la discipline allie à la fois la gymnastique, la danse et s’inspire du yoga. Pour débuter, vous n’avez besoin que de très peu de matériel, simplement un tapis, mais il est tout à fait possible, au fur et à mesure des exercices, d’utiliser des objets tels qu’un ballon, un ressort, des élastiques… Par rapport au yoga, le pilates est un sport très récent, puisqu’il n’a été « inventé » qu’aux alentours des années 1920, par un passionné de sport et du corps humain : Joseph Pilates. Pour la petite histoire, ce sont les étirements des animaux sauvages ainsi que les gestes de grands sportifs (associés au yoga) qui ont inspiré le créateur de cette activité sportive.
Cette méthode offre principalement une musculation profonde, une meilleure position naturelle, une harmonie physique et une meilleure mobilité articulaire pour dessiner le corps. Typiquement, elle s’adresse à tous ceux qui souhaitent s’affiner et renforcer différentes parties du corps (notamment les abdominaux et le dos).
À PROPOS DES BIENFAITS DU PILATES !
Vous l’avez peut-être déjà compris, le pilates se focalise principalement sur un aspect physique tandis que le yoga, lui, travaille également l’esprit. Il offre aussi son lot de bénéfices pour la santé grâce à :
- Une amélioration de la posture du corps,
- Un renforcement des muscles profonds (aide à soulager les maux de dos, raffermir la ceinture abdominale et renforce le corps)
- Un assouplissement global des muscles dits « moteurs » (ischio-jambiers, l’arrière des cuisses…),
- Un meilleur contrôle de soi et des gestes,
- Un massage des organes internes,
- Une meilleure circulation sanguine,
- Une diminution des blessures et/ou des déséquilibres musculaires,
- Une harmonisation des muscles du corps
QUELLES SONT LES DIFFÉRENCES ENTRE LA PRATIQUE DU YOGA ET CELLE DU PILATES ?

Le yoga et le pilates vous intéressent, mais vous n’arrivez pas à vous décider sur un choix final. Voici donc quelques différences notables, pour que vous puissiez prendre une décision. Toutefois, il faut commencer par définir ses objectifs !
QUELS SONT VOS OBJECTIFS ?
Choisir entre yoga et pilates peut paraître compliqué au premier abord, mais il ne l’est pas tant que ça. En fait, la raison pour laquelle vous souhaitez débuter une activité physique aiguillera votre choix. Par exemple, le yoga travaille davantage sur l’esprit et la concentration que sur les performances physiques. D’ailleurs, le corps et l’esprit sont abordés comme une seule et même entité. Tandis qu’à l’inverse, le pilates, lui, se focalise sur un travail de postures plus poussé, notamment par le renforcement des muscles profonds et par le rééquilibrage de la colonne vertébrale et du bassin.
Donc, si vous souhaitez développer votre force, votre souplesse et votre équilibre, le pilates est fait pour vous ! En revanche, si vous préférez vous reconnecter avec vous-même, apprendre à mieux respirer et retrouver « une paix intérieure », dans ce cas, c’est le yoga qui vous correspond le mieux.
À savoir : les deux pratiques sont très utiles lors de rééducation après une blessure ou un accident, par exemple. Et même, sur ce point-là, elles restent assez différentes, puisque :
- Le yoga est plus efficace lors d’une thérapie pour soulager la souffrance morale et/ou émotionnelle.
- Le pilates aide à atténuer la douleur et à favoriser un rétablissement plus rapide des blessures physiques. Très utile également pour retrouver une motricité correcte.
LA PRINCIPALE DIFFÉRENCE ENTRE YOGA ET PILATES
Allons droit au but : le pilates n’est clairement pas une discipline dite « spirituelle ». L’enjeu principal du pilates, c’est d’aider le corps à développer une capacité physique approfondie et plus intense. Il demande une concentration, certes, mais bien inférieure à celle du yoga. Et pour cause, le yoga prend aussi en compte l’aspect méditation et respiration. Ce n’est pas qu’un simple enchaînement de postures. Certains disent même qu’il s’agit d’une philosophie de vie, d’un mode de vie et d’un état d’esprit (à l’origine, elle est considérée comme telle). Il est question de visualiser le corps et l’esprit à travers une prise de conscience intérieure.
UNE RESPIRATION IMPORTANTE, MAIS DIFFÉRENTE !
Unique point commun de ces deux pratiques, elle est au cœur du processus d’entraînement. Elle est toutefois différente pour l’une et pour l’autre. En effet, pour pratiquer correctement le pilates, il faut nécessairement effectuer un mouvement respiratoire au même rythme que les exercices. Fait également présent dans le yoga. Seulement, la respiration au pilates est précise : vous inspirez par le nez et vous expirez par la bouche.
Hors, au yoga, la respiration est uniquement réalisée par le nez, et même bien plus en profondeur, puisqu’il s’agit d’une inspiration et d’une expiration profondes, par le ventre.Certaines positions en yoga travaillent la respiration comme ici la position du poisson
DES EXERCICES SPÉCIFIQUES ET DES MOUVEMENTS DIFFÉRENTS
Même remarque que précédemment, chaque méthode a ses propres exercices, mais la façon d’effectuer les mouvements est encore opposée. Pour simplifier, le yoga demande d’enchaîner des postures spécifiques, les unes à la suite des autres, sans interruption, c’est-à-dire, sans temps d’arrêt entre chaque exercice.
La pratique du pilates, quant à elle, diffère légèrement puisqu’elle nécessite de répéter les exercices plusieurs fois. On parle alors de « série ». Chacune de ces séries est entrecoupée d’une pause, afin d’ajuster son corps et vérifier que l’on travaille le bon muscle et la bonne zone.
ACCESSOIRES & MATÉRIELS !
Tapis et tenue confortable. Pour débuter, c’est tout ce dont vous avez besoin ! Aussi bien pour le yoga que pour le pilates. La différence se joue au niveau des exercices plus développés et plus avancés, car ils nécessitent des accessoires un peu plus encombrants comme un ballon, des élastiques, des angles, un « magic circle »…
Notez aussi qu’il existe des variantes du yoga qui ne requièrent aucun matériel ni tenue, comme par exemple le yoga des yeux ou d’étirement du dos. Ces exercices et postures permettent aux personnes travaillant toute la journée sur un bureau de s’étirer et dénouer les tensions qui se créent lors d’une position assise prolongée. Si vous êtes dans ce cas-là, renseignez-vous, car vous pourriez être surpris de l’efficacité des mouvements et étirements.
POURQUOI NE PAS ESSAYER LES DEUX DISCIPLINES ?
La meilleure solution reste encore d’essayer par vous-même les deux pratiques. De cette manière, vous pourrez juger si vous préférez la douceur et le calme du yoga ou l’intensité et la puissante du pilates.
À LA MAISON
Première astuce, essayez directement depuis chez vous ! Vous découvrirez, à votre rythme, et sans complexe ni jugement, la pratique du yoga et du pilates. Il existe de nombreuses vidéos sur Internet ou appli permettant de comprendre et d’appliquer les différents exercices, pour pratiquer sans danger, ni risque de se blesser. Évidemment, le résultat sera moins important que si vous pratiquiez dans un cours collectif, avec un professeur, mais ça vous permettra de vous faire une bonne idée générale.
AUPRÈS D’UN PROFESSEUR CERTIFIÉ ET/OU EN COACHING INDIVIDUEL
Deuxième option, s’inscrire à un cours collectif avec un professeur certifié. Pour progresser plus rapidement, c’est sans doute la meilleure chose à faire. N’oublions pas qu’à terme, pratiquer à la maison, souvent seul, n’est pas très amusant, voire même démotivant. Là, au moins, vous pouvez trouver le soutien d’autres participants, et même celui du professionnel.
UNE NOUVELLE TENDANCE : LE YOGALATES
Derrière ce nom assez étrange, se cache en réalité une alliance entre le yoga et le pilates. Grosso modo, si vous n’arrivez vraiment pas à vous décider, il existe cette alternative, ouverte à tous les curieux. D’ailleurs, elle n’est pas réservée au débutant puisqu’elle permet de découvrir le yoga ou le pilates quand on pratique déjà une des deux disciplines.
Si vous aimez le renforcement musculaire, mais que vous voulez aussi travailler votre esprit et votre vous intérieur, n’hésitez pas à tester cette nouvelle pratique. Ainsi, vous assouplissez l’entièreté du corps tout en redessinant la silhouette de celui-ci, dans le calme et la sérénité d’une méditation de yogi. L’avantage, c’est que vous bénéficiez à la fois des vertus du yoga, mais également de celles du pilates. Très pratique pour optimiser son temps, agir sur son corps et sur son esprit (diminution du stress, renforcement musculaire doux, activité physique relaxante et intense à la fois…). À vrai dire, c’est un bon compromis !
LE PLAISIR AVANT TOUT !
Peu importe votre choix final, n’oubliez pas qu’il faut d’abord prendre du plaisir. Il s’agit de la règle numéro 1 de l’activité sportive. Si vous n’aimez pas ce que vous faites, vous n’arriverez à rien… Pour résumer, le yoga est une activité douce, et focalisée sur les sensations intérieures. Il aide à la souplesse et à la concentration en mêlant la méditation, la respiration et les postures d’étirement. Pour une approche spirituelle du sport, choisissez plutôt le yoga.
Sinon, le pilates est majoritairement axé sur le développement et le renforcement de vos muscles profonds. Il a plutôt un avantage d’ordre physique (et éventuellement psychique, par la suite, avec notamment la réduction du stress…), car les exercices sont plus intenses et offrent un objectif de réussite plus rapide que le yoga. Même s’il ne faut pas oublier que ce n’est pas une compétition et que la philosophie de base n’est clairement pas la même ! Alors, yoga ou pilates ?

Fin du yoyo, des fringales, des privations, des régimes farfelus, voici comment perdre du poids doucement mais sûrement, sans entamer son capital santé bien au contraire, sans effet rebond, sans se faire de mal…
Quand on fait un régime restrictif, on se prive et on met son corps en mode « alerte famine »…
Vous savez aujourd’hui que cette merveille de technologie biologique qu’est notre organisme est intelligente !
Donc, vous n’allez pas piéger votre corps aussi facilement et il ne va pas se laisser abimer et encore moins mourrir de faim sans réagir !
Un régime draconien, même si c’est au fond pour votre bien, est une situation dangereuse pour lui, on lui enlève son carburant !
Donc, il met en branle tous ses systèmes de survie, après un temps de surprise…
Vous le privez de nourriture, de nutriments, donc il va stocker la moindre molécule vitale source d’énergie mais aussi les minéraux, acides gras et oligo-éléments nécessaires aux réactions chimiques diverses, hormonales, enzymatiques, neuronales, fonctionnelles et structurelles…
Il baisse aussi son métabolisme pour économiser son énergie et ses sources, donc consomme moins…brûle moins…
Pendant que vous maigrissez avec le sourire, lui se défend en fin stratège…
Entre temps vous avez aussi perdu du muscle, puisqu’il va taper dans ces réserves de protéines, or les muscles sont de vraies centrales à charbon qui brûlent nos calories !!
Plus on a de muscles, plus on consomme, plus on peut manger…vous m’avez compris…
Quand vous en avez marre de vous priver, parce que la vie c’est pas se priver, et que vous pensez avoir assez maigri, vous reprenez votre rythme alimentaire…
Un an, deux ans, petit à petit, votre corps reprend des réserves, au cas ou, pour la prochaine fois, la prochaine famine, bien mémorisée…On se rend pas trop compte, mais on reprend du poids…
Votre métabolisme qui avait baissé, ne suit pas trop au début et donc vous brûlez moins vos calories…Mathématiquement, les soustractions se font moins bien, l’usine ne fonctionne pas tout à fait à plein régime, paradoxalement…
Bon, quelques années plus tard, selon l’âge, parce que oui l’âge est un élément fondamental dans les histoires de poids, vous avez envie de mincir de nouveau !!
Mais en vieillissant nous fabriquons de moins en moins de cellules, notre fameux métabolisme baisse naturellement de lui même, et d’une…
Et de deux, quand on veut de nouveau faire un petit régime avant l’été, ou un gros parce qu’on a beaucoup à reperdre, et bien, paf, ça ne marche plus du tout comme le premier…Comme c’est bizarre…Ben non, vous n’allez pas lui faire deux fois la même !!! Le cerveau a bien mémorisé le premier sale coup et on ne le bluffe pas comme ça !!
Le corps stocke direct, se défend bien, ralenti encore plus le métabolisme (ce qui baisse la moyenne des calories consommées par jour), met en place des systèmes de défense qui l’empêche de perdre ce qu’il a soigneusement épargné…
Bref, vous ne perdez pas de poids aussi facilement que la première fois, à moins de réduire encore plus les apports alimentaires et c’est l’escalade, le cercle vicieux, le yoyo…Avec tous les effets délétères pour la santé qui en découlent…
Cela perturbe tout l’organisme, le cerveau, le système nerveux, voire hormonal en cas de grosse privation…On a vu des femmes ne plus avoir leurs règles en cas de régime drastique, le corps économise au point de réserver son énergie aux organes vitaux, la reproduction est alors secondaire…
Alors, on fait comment ????
Et bien, on commence pas essayer de ne pas prendre trop de poids dés le départ !
En s’éduquant et éduquant les enfants aux méfaits du sucre, des produits industriels, de la junk-food et aux bienfaits des légumes, produits frais, bruts et de saison…
Le goût s’éduque aussi, oui oui…
Puis on bouge on donne de l’oxygène à son corps, des occasions de construire du muscle, de bons cartilages, un bon drainage lymphatique (qui ne se fait que par le mouvement), une bonne lubrification articulaire et maintien osseux, un bon entrainement cardiaque, une respiration ample et souple, donc une bonne assimilation et élimination globale en faisant de l’activité physique, naturelle et vitale !!!
La sédentarité est un facteur majeur de dégénérence précoce, de problèmes de santé divers et de poids !
Maintenir une activité physique minimum est un énorme atout !!
Puis, ne pas faire de gros régime !! Ne pas commencer le cercle infernal ou alors, avec ruse…
Si on veut maigrir un peu, il faut faire doucement, progressivement, pour leurrer le système de défense de l’organisme afin qu’il ne se sente pas en danger : ne pas se priver, mais juste réduire un peu les apports, baisser légèrement la quantité, augmenter la qualité, la variété et les fibres !
Reprendre de bonnes habitudes alimentaires saines et équilibrées.
Ça en plus du sport, lissé sur des mois et ne pas replonger dans des excès trop régulièrement, voilà la bonne recette !!!
Et accepter qu’avec le temps aussi, on change, on ne peut pas garder notre corps de 20 ans, parce que nous n’avons pas les mêmes besoins, la même énergie et la même consommation !!
Maintenir une activité physique optimale adaptée à son âge et ses ressources, ou choisir d’en faire toujours plus, pour maintenir « artificiellement » le métabolisme si veut à tout prix rester « jeune », question de mesure…
Vous avez les cartes en mains et des pistes pour approfondir si besoin…
Et surtout surtout surtout, n’oubliez pas le plaisir et la joie sont plus importants et nourriciers qu’une belle apparence dans le miroir…(souvent déformé…), en tout cas, pour moi…

Découvrez les secrets de la cuisson à la vapeur révolutionnaire « Gardez les nutriments en vie ! »
C’est un des secrets les mieux gardés de l’art culinaire…
Grâce aux progrès considérables de la biochimie cellulaire, la diététique a mis en évidence l’importance des éléments essentiels contenus dans les aliments : vitamines, oligo-éléments et sels minéraux.
L’organisme a besoin d’ingérer ces éléments au quotidien pour se régénérer et s’équilibrer. C’est ce qui rend Le Vitaliseur si spécial.
Elle préserve ces nutriments en cuisant bien les aliments sans dépasser 95°C, contrairement aux cuiseurs traditionnels qui dépassent normalement largement les 100°C :
Il régule la température de la vapeur pour la maintenir constante.
Il cuit les aliments sans les dessécher et conserve tous les nutriments en vie. (même les plus fragiles comme la vitamine C)
Les graisses malsaines, les toxines et les pesticides de surface sont éliminés lorsqu’ils tombent dans l’eau de cuisson
Pourquoi détruisez-vous les nutriments lorsque vous cuisinez des aliments ?
L’autocuiseur
La cuisson sous pression, qu’elle soit en autocuiseur ou dans un autre récipient (vapeur sous pression, eau bouillante), rend les sels minéraux des aliments indigestes, et tue les enzymes ainsi que la plupart des vitamines.
Le four, la cuisinière, le barbecue
Du fait de leurs températures élevées, ceux-ci provoquent une concentration de graisses animales, générant des goudrons et des hydrocarbures.
Four micro onde
Il détruit les électrons indispensables aux réactions métaboliques et aux échanges cellulaires. Il altère radicalement la structure des aliments, au point de rendre certaines protéines toxiques.
Depuis 1985
Le Vitaliseur de Marion a été conçu sur un calcul de proportions : le diamètre des trous du tamis, leur nombre et leur répartition sur le nombre d’or, mais aussi les proportions de la cuve, du tamis, du couvercle, qui, s’ils sont coupés transversalement, correspondent également à ce numéro.
10 bonnes raisons d’adopter Le Vitaliseur :
Aspect pratique
• Son acier inoxydable 18/10 convient à tous les modes de chauffage (gaz, électricité, vitrocéramique, plaques à induction)
• Innovant : Vous pouvez tout cuire en même temps (bananes, chou-fleur, poisson) sans transfert de saveur entre les aliments, ce qui fait gagner du temps !
• Le Vitaliseur de Marion est assez grand pour contenir de grosses pièces (volaille entière ou poisson), dans le grand modèle
• Le Vitaliseur de Marion réduit les temps de cuisson (30 min pour un poulet entier, 3 min pour un filet de poisson)
• Multi-talent, il cuit, décongèle en douceur, réchauffe, maintient au chaud, fond le chocolat sans le cuire ni le dessécher.
Aspect santé
• Les sels minéraux et les vitamines sont préservés tout au long de la cuisson, vous n’aurez donc plus besoin de compléments alimentaires
• Le Vitaliseur de Marion vous aide à suivre une alimentation maîtrisée, avec une cuisson sans matière grasse qui préserve la saveur des aliments pour une perte de poids sereine et agréable.
• Débarrassés des graisses nocives, les aliments cuisinés dans Le Vitaliseur de Marion sont plus faciles à digérer.
• Le Vitaliseur de Marion fait « suer » les aliments, les graisses saturées et les acides qui endommagent le cœur et les artères et augmentent le taux de cholestérol.• With Le Vitaliseur de Marion, you can cook a whole meal in record time – and it’s easy!
Si vous souhaitez bénéficier d’une réduction pour l’achat d’un vitaliseur, contactez moi par mail.

Un oublié du corps humain mais avec un power insoupçonné
Parlons du fameux NERF VAGUE, car cette notion semble un peu vague (super jeux de mot, 😉 )
Le nerf vague est le plus long du corps humain, il s’étend du tronc cérébral jusqu’au système digestif en passant par tous les organes. Il innerve le système nerveux parasympathique. Pour rappel c’est celui qui fait fonctionner la machine de façon ‘normal’, pas la peine de fuir etc…. (lien vers l’article sur le SN parasympathique et sympathique)
Il est responsable de la régulation du cœur, des poumons, des muscles de la gorge et des voies respiratoires, du foie, de l’estomac, du pancréas, de la VB, de la rate, des reins, de l’intestin grêle et d’une partie du gros intestin. Tout un programme me direz-vous ! Un vrai chef d’entreprise a lui tout seul.
La majorité des contrôles exercés par le système nerveux parasympathique (dont le rôle est de ralentir les fonctions de l’organisme pour favoriser la relaxation) passent par ce nerf.
Plus de 80% des informations qui circulent par le nerf vague vont des organes jusqu’au cerveau. Un grand nombre de troubles et maladies pourraient être liés à un problème de stimulation de ce nerf.
Son action première parmi toutes celles évoquées ci-dessus et son pouvoir anti-inflammatoire. Il agit directement sur le système immunitaire, empêchant un emballement inflammatoire.
Comme je vous le disais dans le titre, et je n’invente rien, il est important de rééquilibrer le système nerveux parasympathique et de ce fait le nerf vague pour :
- Bien digérer
- Réguler le rythme cardiaque
- Efficace dans la santé des poumons et du larynx
- Dans la sécrétion et la régulation des glandes surrénales (gestion du cortisol et de l’adrénaline). Rappelons aussi que le cortisol a une action anti-inflammatoire.
- Lien avec la thyroïde
Si le nerf vague n’est pas stimulé correctement, s’il y a un dysfonctionnement, on observe dès lors une augmentation du terrain anti-inflammatoire. Avec des manifestations comme une augmentation des palpitations, problème cardiaque, problème de voix, de transpiration excessive, de reflux oesophagien, de transit, d’inconfort digestif, d’élévation de la glycémie etc…
On sait maintenant qu’on peut mesurer la variabilité de la fréquence cardiaque et cela nous donne une bonne indication sur l’état général du nerf vague.
La fréquence cardiaque optimale se situe entre 50 et 70 battements/minute, 50 à 60 chez les personnes très sportives, avec une variabilité de la fréquence

Découvrez les avantages de Vivoo, le test d’urine à domicile n°1 pour des conseils personnalisés en matière de nutrition et de style de vie.
Apprenez les besoins de votre corps en 90 secondes ! Je vous jure c’est possible et tout cela tranquillement de chez vous en toute intimité.
Vivoo c’est une mini station urinaire connectée. Je t’explique juste après comment ça marche, n’y a rien de plus simple
Pourquoi je dis que c’est une station urinaire connectée, tout simplement parce qu’elle est une plateforme de bien-être centrée sur TOI sur TON téléphone
A partir de maintenant tu ne pourras plus dire, je ne me sens pas en forme et patati et patata…. mais pas le temps d’aller prendre un rdv chez un médecin pour une ordonnance d’un test, payer le médecin et le labo etc…. Maintenant j’ai la solution pour toi, et si je te propose ce produit c’est aussi parce que le test sur moi et sur ma famille (mes meilleurs cobayes, depuis des mois).
Il est temps d’écouter la voix de votre corps !
Grâce à Vivoo tu obtiens des données corporelles en temps réel :
Hydration
Magnésium
Calcium
Vitamine C
Cétone ( Des cétones se forment dans votre corps lorsqu’il commence à utiliser du gras au lieu de glucides pour créer de l’énergie. Lorsqu’il n’a pas suffisamment d’insuline pour faire passer le glucose (sucre) du sang aux cellules, le corps utilise le gras pour créer de l’énergie.)
pH
Sodium
Radicaux libres (produit par ton niveau de stress, ça c’est des méchants)
Protéine
Et tout ça juste à travers ton urine et juste en 90 secondes.

Je vous montre pour moi
Suite ton analyse personnalisé, la plateforme te donne 5000+ Conseils personnalisés :
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Avec Vivoo ce qui est aussi ‘chouette’ c’est que tu peux intégrez ton appareil portable à Vivoo grâce aux appli « santé » pour IPhone et je ne sais pas pour Android et autre, pour suivre tes :
Activité
Dormir
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Il y a aussi plus de 300 articles sur le bien-être :
Tu peux accéder à des blogs et des articles sur des sujets de bien-être à la mode.
Alors maintenant on passe à la phase pratico pratique
Comment utiliser Vivoo??
C’est super simple, même un enfant peut le faire
Il te suffit d’uriner sur la bandelette et de numériser vers l’application Vivoo pour recevoir vos résultats. Et voilà c’est dans la boite. Ensuite tu attends juste les fameuses 90 secondes et hop les résultats s’affichent sous tes yeux ébahis.
En gros : Déballez, urinez, scannez et attendez (90 secondes, ce qui fait 1m30).

Pour être sérieuse deux minutes, Vivoo est basée sur la science. Tous les conseils que tu trouves sur la plateforme sont préparés par des diététistes et des experts agréés et certifiés.
Vos résultats aux tests révèlent le soutien nutritionnel dont votre corps a besoin grâce à l’analyse d’urine. Vivoo est adapté aux besoins de votre corps.
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Du sucre il y en a partout, comment stopper le sucre en continuant de se faire plaisir.
Lorsque nous mangeons des aliments sucrés, le système de récompense du cerveau – appelé système mésolimbique de la dopamine – est activé. La dopamine est une substance chimique du cerveau libérée par les neurones et qui peut signaler qu’un événement a été positif. Lorsque le système de récompense s’active, il renforce les comportements et nous incite à les reproduire. Les “coups” de dopamine provoqués par la consommation de sucre favorisent la recherche préférentielle de ces aliments.
Les fruits sont bons pour la santé et ils contiennent du fructose me direz-vous?
Oui, les fruits en contiennent une petite quantité qui ne cause pas d’inflammation ou de résistance à l’insuline. Ils sont bénéfiques pour la santé à condition de ne pas dépasser 25 grammes par jour. Ceci est la quantité que votre foie peut métaboliser avant de produire de la graisse, ce qui correspond aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
25 g de fructose = 3 portions de fruits OU 6 cuillères à café de sucre
Ici je vous livre une méthode pour adopter une alimentation pauvre en sucre.
- ADOPTEZ LE BON ÉTAT D’ESPRIT FACE AU SUCRE
Au premier abord, arrêter le sucre vous semblera être une entreprise impossible et un objectif intenable sur le long terme. Lorsque vous expliquerez à votre entourage que vous avez décidé d’éliminer le sucre de votre alimentation, on trouvera l’idée farfelue.
Le fait est que nous entretenons une relation psychique et émotionnelle forte au sucre depuis notre plus tendre enfance et qu’il n’est pas aisé de se départir de cette relation. Par-delà la dimension individuelle, il y a la dimension collective. L’industrie du sucre exerce un lobbying fort sur nos institutions gouvernementales.
Bien-être et arrêt du sucre
Vous ne modifierez pas vos habitudes alimentaires du jour au lendemain. C’est votre état d’esprit qu’il faut changer, en formatant la relation que votre cerveau et votre corps entretiennent avec le sucre, et en installant de nouvelles habitudes. En remplaçant une routine problématique par une routine vertueuse qui nous permettra d’obtenir le même degré de récompense, nous pouvons reprogrammer nos habitudes.
Ici, si le signal est la faim, nous devons apprendre à notre cerveau que nous pouvons obtenir le même degré de satisfaction avec des choix alimentaires pauvres en sucre.
Rassurez-vous, l’idée ici n’est pas d’abandonner à jamais le plaisir de déguster un magnum en regardant un bon film ou de commander un dessert dans ce petit resto que vous adorez. Mais se sevrer du sucre et reprogrammer vos papilles gustatives requiert de le supprimer totalement pendant quelques semaines.
Vous pourrez ensuite le réintroduire progressivement dans des quantités et sous des formes qui ne soient pas dangereuses pour votre santé. En général, ce processus est assez naturel car passé quelques semaines sans sucre, vous serez bien plus sensible au pouvoir sucrant des aliments. Vous vous sentirez rapidement écoeurée face à un mets très sucré.
- NE MANGEZ PAS MOINS MAIS MIEUX
Certaines personnes, dont peut être vous faites partie, ont souvent derrière elles une longue histoire de régimes et d’effets yoyo. Cette dynamique est alimentée par une impossibilité à se débarrasser des graisses stockées autour de l’abdomen. Mais aussi par une mauvaise estime de soi.
Ici on ne parle pas de régime mais je souhaite que vous adoptiez l’idée que stopper le sucre est un réequilibrage alimentaire, bon pour vous !
Pour arrêter le sucre, il faut supprimer les aliments et produits qui en contiennent pour les remplacer par d’autres qui n’en contiennent pas. Cette démarche est étrangère à toute idée de comptage des calories. Vous expérimentez probablement un manque au courant des premières semaines de l’arrêt mais vous devez impérativement continuer à vous faire plaisir!
- PRÉPAREZ VOTRE CORPS ET VOTRE MENTAL (2 SEMAINES)
Stopper votre consommation de sucre du jour au lendemain serait bien trop brutal pour votre mental comme pour votre corps. Je vous conseille plutôt d’effectuer 2 semaines de préparation qui vous permettront une transition en douceur vers votre nouvelle alimentation.
Commencez à prendre conscience de votre alimentation et de ce que vous consommez quotidiennement. Votre petit-déjeuner est-il composé d’un bol de céréales et d’un jus de fruits? Sucrez-vous votre café/thé? Combien de fruits consommez-vous par jour? Prenez-vous systématiquement un dessert lorsque vous sortez au restaurant ? Agrémentez-vous vos dîners de quelques carreaux de chocolat? Vos collations sont-elles sucrées?
Prenez également le temps d’inspecter vos placards et de jeter un oeil à vos étiquettes. Que contiennent vos sauces tomates, vos mayonnaise industrielles, vos biscuits, vos boissons fraîches? Sachez que les sauces allégées contiennent en général bien plus de sucre que leur version non allégée. Par exemple, la mayonnaise allégée contient en moyenne 10% de sucre contre 1,7% pour la mayonnaise classique.
Ce que vous devez savoir :
Au sein de l’UE, vous ne trouverez aucune mention d’apport journalier recommandé (AJR) pour le sucre.
1 cuillerée à café de sucre équivaut à 4,2 g. En divisant le nombre de grammes figurant sous la rubrique “glucides”, vous obtiendrez le nombre de cuillerées à café pour 100 g. Selon l’OMS, nous devrions consommer un maximum de 6 cuillerées à café par jour. Vous pouvez ensuite calculer la quantité de sucre consommée en multipliant ou divisant le nombre de cuillerées à café obtenu par la quantité consommée.
Exemple: un pot de Danette contient 18,5 g de sucres pour 100 g de produit. Soit à peu près 4,4 cuillerées à café de sucre. Un pot de Danette pèse 125 g. Manger un pot entier, c’est consommer presque l’intégralité des quantités recommandées par l’OMS.(4,4 cuillerées à café x 125 g / 100g = 5,5 cuillerées à café de sucre).
Souvenez-vous également qu’en ce qui concerne les laitages, 100 g de produit contiennent naturellement 4,7 g de lactose. Au-delà de cette quantité, il s’agit de sucres ajoutés.
Dès la première semaine, commencez à introduire progressivement un changement en diminuant les sucres raffinés. Supprimez biscuits, viennoiseries et pains ou pâtes contenant de la farine blanche. Choisissez à la place des farines et aliments complets.
Voici quelques astuces :
Au restaurant, prenez une “entrée + plat” plutôt que “plat + dessert”.
Le soir, troquez votre carreau de chocolat pour une tranche de pain complet tartiné de beurre d’amande ou de cacahuètes (assurez vous qu’il n’y ait pas de sucres ajoutés en contrôlant l’étiquette).
Le matin, remplacez votre jus de fruit par un citron pressé dans un peu d’eau tiède.
Progressivement, remplacez le sucre que vous ajoutez dans votre thé ou café par un peu de lait d’avoine ou d’amande.
Echangez votre bol de céréales du matin par des œufs brouillés ou un toast à l’avocat.
Trouvez des boissons sans sucre qui vous apporteront la même satisfaction que celles qui contiennent du sucre. On peut par exemple trouver dans le commerce des thés glacés sans aucun sucre ajouté.
Assurez-vous d’avoir toujours sur vous des fruits à coque (amandes, noix de cajou, noix, noix du brésil) afin de parer aux petits creux. Une poignée suffit généralement à calmer la faim.
Profitez de cette phase préparatoire pour vous hydrater en buvant beaucoup d’eau. Faites-vous du bien en faisant de l’exercice physique et en privilégiant le sommeil. Cela vous permettra de vous préparer mentalement et physiquement à la phase d’arrêt total du sucre.
- STOPPEZ TOTALEMENT LE SUCRE (3 SEMAINES)
Ces 3 semaines constituent la phase d’arrêt total du sucre. Elles vous permettront de reprogrammer votre cerveau ainsi que vos papilles gustatives, mais surtout de jeter les bases d’une bonne nutrition pour toute votre vie.
En éliminant le sucre, vous allez découvrir en parallèle de nouveaux aliments qui satisferont pleinement vos vos envies, stimuleront votre palais et contribueront à vous maintenir en bonne santé. Vous allez aussi également vous alléger sans y penser.
Voici les aliments que vous allez éviter:
Le sucre sous toutes ses formes. Cela inclut l’agave, le sirop d’érable, la stévia et le miel (celui-ci contenant 40% de fructose). Les fruits secs et frais, ainsi que les jus de fruits. Les desserts, le chocolat ainsi que les boissons sucrées. Les confitures et céréales. Les biscuits. Les yaourts aromatisés et autres spécialités laitières. Tous les condiments qui contiennent du sucre (sauce tomate, vinaigre balsamique, etc.).
Tous les produits contenant de la farine blanche (bagles, pains, papillotes, viennoiseries, pâtes).
Tous les aliments transformés c’est-à-dire ceux contenant des acides gras trans ou du sirop de maïs à haute teneur en fructose.
Ensuite, trouvez des alternatives. Par exemple, le vinaigre balsamique peut être remplacé par du vinaigre de cidre. En effet, selon les études scientifiques, il diminuerait la réponse du glucose et de l’insuline 30 à 60 minutes après le repas (https://care.diabetesjournals.org/content/27/1/281.long). A vous de trouver des alternatives ‘sans sucre’.
Si cette phase s’avère difficile parce que bannir le sucre de votre vie vous semble cruel et impossible, rappelez-vous que le but de cette phase est de formater votre organisme. Cela vous permettra ensuite d’établir une consommation de sucre raisonnée et sans danger pour votre santé. Vous serez surprises de découvrir que la sensibilité de vos papilles gustatives aura changé. Par exemple, le goût d’une banane (7 g de fructose) ou d’une mangue (8 g de fructose) vous paraîtra incroyablement sucré et vous serez plus rapidement écoeurée. Cette nouvelle acuité vous conduira à limiter naturellement vos apports en sucres.
Qu’en est-il de l’alcool? Idéalement, il conviendrait de supprimer complètement l’alcool pendant ces 3 semaines. Mais si cela est difficile car vous avez une vie sociale bien remplie privilégiez le vin rouge. Essayez de consommer avec modération (1 verre ou 2). Il est probable qu’après avoir arrêté le sucre, vous tolérerez moins l’alcool, ce qui la aussi, vous conduira à limiter naturellement votre consommation.
- CONCENTREZ-VOUS SUR LA QUALITÉ DES ALIMENTS
Si lors de cette phase, vous vous concentrez sur la qualité plutôt que la quantité, vous éprouverez lors de vos repas un sentiment de satisfaction et de satiété qui limitera voire supprimera les envies compulsives et les fringales pour les aliments sucrés. Focalisez-vous sur les goûts, textures et arômes qui s’offrent à vous plutôt que de vous préoccuper de ce que vous ne pouvez pas manger.
Pour trouver de la motivation, jetons un coup d’œil à la science. Les aliments dont vous vous nourrissez ont une influence sur vos hormones, votre métabolisme mais aussi sur l’expression de vos gênes, et 200 g de cookies n’ont rien à voir avec 200 g de brocoli.
Il s’agit donc ici de maîtriser l’indexe glycémique des aliments que vous ingérez. Une alimentation à basse charge glycérique, avec davantage de protéines, est d’ailleurs celle ayant le plus d’impact sur la perte et la gestion du poids (Larsen TM et al., 2010).
Index glycémique: la glycémie est la mesure du taux de sucre (glucose) dans le sang. L’index glycémique permet de classer les aliments contenant des glucides en se basant sur leurs effets sur la glycémie durant les deux heures suivant leur ingestion. Plus leur index est élevé, plus les aliments entraînent une hausse rapide du taux de sucre. Cela entraîne une forte sécrétion d’insuline, dont le rôle est de faire baisser le taux de sucre dans le sang.
Maîtriser (dans les grandes lignes) l’index glycémique des aliments vous aidera à consommer moins de sucre.
Supprimer le sucre de votre alimentation ne veut pas pour autant dire qu’il faille vous priver de manger des glucides. Les bons glucides provenant des végétaux (légumes verts, légumineuses, céréales complètes, etc.) sont essentiels à une bonne santé parce qu’ils apportent une grande quantité de vitamines et de minéraux, de fibres, et autres nutriments aux vertus protectrices.
De manière générale, il convient d’associer protéines de bonne qualité, lipides ainsi qu’aliments riches en fibres et pauvres en amidon, à une faible quantité de fruits peu sucrés et de céréales complètes. Pour y parvenir, évitez de consommer des glucides seuls. Par exemple, si vous mangez des myrtilles à 16h, accompagnez les d’amandes. Si vous souhaitez manger un bout de pain, faites le au cours d’un repas composé de protéines animales, de bonnes matières grasses et de légumes riches en fibre.
Qu’en est-il du riz et des pommes de terre? Vous pouvez tout à fait consommer ces aliments, à condition de choisir du riz noir ou complet, et d’en manger avec modération. Les féculents riches en amidon contiennent beaucoup de glucose et peu de fructose, et le glucose n’affecte pas autant l’insuline que le fructose. Des féculents en quantité modérée, consommés avec d’autres aliments comme les protéines et les légumes (qui ralentissent l’absorption du glucose dans votre corps) est tout à fait possible.
Petite astuce pour les féculents comme les pommes de terre : Les cuire et les laisser refroidir une nuit au frigo, baisse leur teneur en amidon et seront bien digestes le lendemain réchauffés.
Quelques aliments réconfortants lorsque l’on arrête le sucre:
Les beurres d’amandes, de cacahuètes et de noisettes.
Le cacao (attention pas la poudre de cacao, le vrai cacao). Il a un côté réconfortant et s’avère bénéfique pour la santé cardiovasculaire.
La cannelle. On peut en saupoudrer partout et elle a des vertus anti-inflammatoires.
Enfin, n’hésitez pas à remplacer le sucre par des bonnes graisses et des protéines de qualité. Les lipides sont nécessaires à notre biologie. Elles sont un constituant crucial de notre membranes cellulaires et participent à la bonne régulation de la glycémie. Les omégas-3 sont par exemple des anti-inflammatoires naturels. Les protéines quant à elles sont essentielles à un bon fonctionnement de notre métabolisme. Elles vous aideront surtout à éprouver une satiété qui éliminera les fringales.
- RÉINTRODUISEZ PROGRESSIVEMENT DES ALIMENTS NATURELLEMENT SUCRÉS
Une fois votre phase d’arrêt total du sucre terminée, vous allez pouvoir réintégrer progressivement certains aliments dans votre alimentation (notamment, les fruits faibles en fructose).
Il est également temps de retrouver de la souplesse dans vos habitudes alimentaires. Vous connaissez désormais les mécanismes à l’œuvre lorsque l’on ingère des aliments à haute teneur en fructose. Vous maîtrisez également le concept de charge glycémique. Il est donc temps d’expérimenter en restant attentifs aux principes d’une alimentation pauvre en sucre.
Quand il s’agit d’alimentation, les mesures trop radicales ne se tiennent pas sur le long terme donc n’hésitez pas à vous autoriser des petits écarts. Ils font du bien à l’âme. Lorsque vous vous faites plaisir, vous pouvez par exemple essayer d’éviter les glucides chargés en amidon pour le reste de la journée. Cela vous évitera de faire exploser votre charge glycémique.
Vous constaterez très probablement que vos papilles gustatives sont plus sensibles qu’avant au goût sucré. Grâce à cette nouvelle sensibilité, vous limiterez naturellement l’ingestion de ces aliments. Il se peut aussi que vous soyez plus conscient de l’effet du sucre sur votre organisme. Si après avoir réintroduit des aliments sucrés vous ressentez des inconforts ou de la fatigue, c’est que cet aliment ne vous convient tout simplement pas.
Cette phase doit être consacrée à la découverte de nouvelles sensations ainsi qu’à la détermination de ce qui fonctionne pour vous sur le long terme.
Par exemple, n’hésitez pas à rendre vos plats plus attrayant en utilisant des herbes, épices et condiments.
Voici une liste de mes favoris:
Poivre et sel (rose ou gris, on évite le sel blanc raffiné et peu intéressant nutritionnellement parlant). A ajouter à vos plats (si vous excluez les aliments industriels de votre alimentation, vous n’avez pas trop à vous soucier d’un ajout de sel dans vos préparations).
Tamari (sauce soja sans gluten). Parfait sur des légumes cuits à la vapeur pour leur donner de la saveur.
Tahini (purée de sésame). Parfait pour faire des vinaigrettes.
Herbes aromatiques : basilic, romarin, coriandre, thym, origan.
Épices: curcuma (aux vertus anti-inflammatoires).
Conserves. Il est pratique d’avoir toujours à disposition des aliments comme les artichauts, les tomates séchées ou encore les sardines, lorsque vous voulez agrémenter un plat ou que vous ne savez pas quoi manger (privilégiez le bio).
Cornichons, ils sont très riches en probiotiques.
Durant cette phase de consolidation, vous apprendrez à composer vos plats afin de limiter leurs impacts sur votre glycémie. Il est alors fondamental de ne pas ingérer de glucides rapides seuls puisqu’ils augmentent votre glycémie et votre insuline. Je vous conseille de systématiquement ajouter des protéines et/ou des bonnes graisses. Par exemple, agrémentez votre pomme de 16h avec du beurre d’amandes ou d’une poignée de noix de cajou. Préférez les patates douces aux pommes de terre traditionnelles, les premières ayant un meilleur index glycémique.
Accordez de l’importance aux heures auxquelles vous mangez. Un petit-déjeuner riche en protéines et en bonnes graisses vous évitera un pic de glycémie et un coup de fatigue en milieu de matinée. Il vous évitera également de vous jeter sur des aliments riches en sucre au moment du déjeuner. Alléger vos dîners vous permettra de limiter les apports à un moment de la journée où vous n’allez plus beaucoup vous dépenser.
Sachez qu’un repas copieux augmentera davantage votre glycémie qu’un repas léger.
Enfin, fractionner vos apports apports alimentaires en 3 repas et 2 ou 3 collations est une excellente technique. Je ne vais nulle part sans emporter avec moi des amandes ou des noix de cajou.

Pour vous l’amitié, c’est un chainons important de votre vie. Et vous je comprends, être entouré, être sollicité, se sentir importante dans un groupe, pouvoir se confier sur ces états d’âmes etc… C’est important ! Et c’est vrai, pour un bon équilibre psycho-émotionnel il faut avoir une vie sociale riche. Mais parfois il arrive que nous fassions face à des personnes qui ne nous veulent pas que du bien.
Comment savoir si on est face à une relation amicale toxique ? Que pouvons-nous faire pour faire face à un ami toxique ? Découvrez comment l’identifier et comment y remédier.
Lorsque nous sommes avec un ami toxique, nous nous sentons souvent vidés, frustrés et déçus. En fait, les amis toxiques ne sont souvent pas conscients que leurs attitudes nous font du mal, ce qui peut finir par nous faire sentir encore plus mal d’avoir ces sentiments. C’est pourquoi il est important de détecter ces comportements et de savoir poser des limites aux actions négatives des autres.
Qu’est-ce qu’une amitié toxique ?
Une amitié saine implique que les deux personnes se respectent et se soutiennent mutuellement. En revanche, lorsque nous sommes ensemble avec un ami toxique, le lien a tendance à être plus égoïste et problématique. Lorsque cela se produit, les gens ont tendance à éprouver des difficultés à établir une relation saine. En outre, ces types de relations toxiques sont souvent caractérisés par l’agressivité, qu’elle soit verbale ou même physique, ainsi que par le recours à la manipulation pour obtenir quelque chose de l’autre personne.
Bien que nous puissions tous adopter un comportement toxique à certains moments, les amitiés toxiques ont tendance à être comme ça la plupart du temps. Pour cette raison, ils finissent par blesser les personnes à côté d’eux.
Comment savoir si j’ai un ami toxique ?
Il n’existe pas de profil général d’un ami toxique, sinon ça serait un peu trop facile. Personne ne porte d’étiquette susmentionnés « ami toxique » « psychopathe » etc… . Mais heureusement des experts du développement personnel et des professeurs en psychiatrie ont élaboré un profil type. Voici quelques-uns des signes toxiques les plus courants :
- On se moque régulièrement de vous ou vous insulte : Les amis doivent être là pour vous soutenir et vous encourager. Par conséquent, un signe que vous êtes dans une relation d’amitié toxique est d’être taquiné ou insulté par cette personne. Dans une amitié, vous ne devez pas avoir l’impression d’être constamment critiqué.
- On cherche à obtenir toute votre attention : un ami ne peut dépendre de vous pour quoi que ce soit. En fait, lorsqu’une amitié a tendance à vous convaincre que sans vous elle ne peut rien faire, c’est un signe de toxicité dans une relation.
- L’autre personne est toujours la victime : Si une personne est toujours dans un rôle de victime, elle a peut-être un problème qu’elle devrait résoudre. En d’autres termes, si même si vous avez un problème, cette personne finit toujours par être le centre d’attention, c’est le signe d’une amitié toxique.
- On vous pousse à faire des choses que vous ne voulez pas faire : un ami toxique ne respectera pas vos opinions et vos idées. Ainsi, ils essaieront de vous faire faire quelque chose contre votre volonté. Par exemple, si vous avez décidé d’arrêter de boire de l’alcool, cette personne essaiera de vous faire boire lors de votre prochaine rencontre avec elle.
- On ne respecte pas vos limites : Se faire respecter est un défi pour tout le monde. Mais, lorsqu’il s’agit de vrais amis, ils vous soutiendront si ce que vous leur demandez a du sens. D’autre part, l’un des signes toxiques de l’amitié est précisément lorsque les gens ne respectent pas vos limites.
- On est jaloux de vos autres amis : Un ami toxique sera jaloux et frustré si vous avez d’autres personnes importantes dans votre vie. En fait, ils feront tout pour essayer d’écarter cette personne de votre cercle.
- Vous donnez plus que vous recevez : Toute amitié doit être unilatérale. Cela implique que les deux personnes doivent avoir le sentiment de donner et de recevoir de manière égale. Si vous avez l’impression de donner trop à l’autre personne et qu’elle ne fait pas d’effort pour vous, votre amitié est peut-être toxique.
- Vous êtes soulagé lorsque les plans sont annulés : Si vous êtes plus soulagé que triste lorsque vous ne pouvez pas passer du temps avec votre ami toxique, c’est un signe clair que quelque chose ne va pas dans cette relation. Par conséquent, si vous ressentez de la peur ou de la crainte lorsqu’ils vous contactent ou si vous ne vous sentez pas en sécurité en leur présence, cela peut être le signe d’une relation d’amitié toxique.
- Parfois, vous ne lui dites pas la vérité : Toutes les amitiés devraient être basées sur la confiance. Mais avec un ami toxique, il est normal de se sentir méfiant lorsque vous lui dites quelque chose d’intime sur vous-même. Si ce sentiment se répète souvent, c’est un autre signe dont vous devez être conscient.
- Vous vous sentez piégé ou obligé d’être son ami : Certains amis toxiques utilisent des tactiques de violence émotionnelle pour maintenir leur relation. Méfiez-vous s’ils font des farces pour vous blesser, vous rabaisser devant les autres, agir différemment lorsque vous êtes avec d’autres personnes ou tester votre loyauté.
- Vous avez l’impression d’être en compétition avec la personne : Les vrais amis se réjouissent de leurs victoires respectives. En fait, ils sont motivés lorsqu’ils voient les autres réaliser ce qu’ils veulent vraiment. Les amitiés toxiques, en revanche, essaient souvent d’être meilleures en tout, même si ce n’est pas leur domaine, et utilisent en fait ces sentiments pour vous rabaisser et se sentir meilleurs que vous.
- Vous vous sentez épuisé : Si, après avoir passé du temps avec eux, vous vous sentez épuisé mentalement et physiquement, cela peut être un signe que vous avez affaire à une amitié toxique. Ces sentiments s’expliquent par le fait que vous êtes en permanence en état d’alerte face à leurs attitudes, ce qui finit par vous épuiser à tous points de vue.
Comme nous pouvons le voir, il est important de détecter les amitiés toxiques car elles peuvent finir par affecter votre bien-être mental. De plus, comme ces relations finissent par prendre beaucoup de votre temps, elles peuvent même affecter d’autres relations ou activités qui sont importantes pour vous.
Comment les amitiés toxiques peuvent-elles vous affecter ?
Les amitiés toxiques peuvent finir par vous faire souffrir de problèmes dans votre vie personnelle et votre santé mentale. Voici quelques-unes des conséquences que peuvent avoir les relations toxiques :
- Une augmentation de l’anxiété ou du stress. (lien vers stresse en naturopathie)
- Mettre fin à d’autres amitiés ou ne pas consacrer de temps à ce que vous voulez vraiment.
- Essayez constamment de « deviner » ce dont votre ami a besoin.
- Troubles émotionnels ou physiques dus à l’impact négatif de l’amitié.
Comment faire face à une amitié toxique ?
Si vous vous êtes rendu compte que vous entretenez une relation toxique avec un ami, il est important que vous preniez une décision à ce sujet. Tout d’abord, vous devez vous demander si vous voulez donner une chance à cette personne ou si vous voulez mettre fin à cette relation douloureuse. En outre, nous vous recommandons de prendre en compte les éléments suivants :
- Prenez de l’espace pour vous : Essayer de rester moins avec cette personne et prendre du temps pour vous peut vous aider à savoir comment fixer des limites avec cette personne ou lui donner de l’espace pour réfléchir à votre relation.
- Commencez à fixer vos limites : si vous voulez maintenir cette amitié, il est vital que vous communiquiez vos limites à cette personne. En d’autres termes, essayez de faire comprendre que vous n’accepterez pas de leur part certains comportements qui vous blessent.
- Parlez-lui : Il est important de parler de vos sentiments avec la personne dont vous pensez qu’elle vous blesse par son attitude. Ainsi, essayez d’esquisser ce que vous allez dire avant la conversation afin d’être clair sur vos idées.
- Parlez-en avec d’autres personnes : Si vous avez l’impression que quelqu’un vous manque de respect, vous devriez peut-être en parler avec d’autres personnes pour obtenir un point de vue plus objectif sur la situation. Ainsi, vos autres amis peuvent vous aider à savoir comment traiter cette personne de manière plus saine.
- Aller en thérapie : Si vous sentez que cette amitié toxique vous affecte, il est important de consulter un thérapeute. Parfois, un ami toxique peut finir par devenir un problème de santé mentale qui peut limiter votre vie.
Parfois, la solution peut être de mettre fin à l’amitié. Cependant, dans tous les cas, vous devez prendre le contrôle afin que cette toxicité ne vous affecte pas.

Je vous dis tout ce que je pense du nutriscore, après avoir lu et relu de nombreux articles et analyses sur le sujet. Je souhaite partager avec vous ma vision personnelle et critique du NutriScore.
Pour rappel c’est un système d’étiquetage nutritionnel qui prétend simplifier nos choix alimentaires. Bien que largement répandu et présenté comme un outil utile, je trouve qu’il comporte certaines limites et problèmes.
L’idée derrière le NutriScore est louable : fournir aux consommateurs une évaluation rapide de la qualité nutritionnelle des produits alimentaires. Cependant, en simplifiant la nutrition à une simple lettre et une couleur, je crains que cela ne nous induise en erreur et ne nous pousse à prendre des décisions basées sur des informations incomplètes.
Comme je le dis souvent la connaissance est le meilleur outil pour rester mettre de ces décisions.
Une des principales critiques que j’adresse au NutriScore est sa simplification excessive. En réduisant des informations complexes sur la nutrition à une échelle aussi simple, nous risquons de passer à côté de nuances importantes. La nutrition est bien plus complexe que ce que peut nous indiquer une lettre et une couleur.
De plus, le NutriScore se concentre principalement sur des critères négatifs tels que les calories, les graisses saturées, le sucre et le sel. Bien que ces éléments puissent être préoccupants en excès, il est important de se rappeler que tous les aliments ne sont pas égaux. Certains peuvent être riches en graisses, mais sources de graisses saines et bénéfiques pour notre santé. En se focalisant uniquement sur les critères négatifs, le NutriScore risque de stigmatiser injustement certains aliments.
Un autre aspect qui me préoccupe est que le NutriScore ne prend pas en compte les besoins individuels. Chaque personne a des besoins nutritionnels spécifiques en fonction de son âge, de son sexe, de son niveau d’activité physique et de ses éventuelles conditions médicales. Se reposer uniquement sur le NutriScore pour prendre des décisions alimentaires peut donc être problématique et ne pas répondre aux besoins spécifiques de chacun.
Enfin, le NutriScore étant actuellement un système volontaire dans de nombreux pays, son application est incohérente. Certains produits afficheront le NutriScore, tandis que d’autres ne le feront pas. Cela crée une confusion pour les consommateurs qui souhaitent comparer les produits de manière éclairée.
Pour aller plus loin et pour éviter de paraphraser, je vous invite à lire cet article de lanutrition.fr qui je pense peut encore vous apporter matière a réflexion.
En conclusion, je crois qu’il est essentiel de ne pas se fier uniquement au NutriScore pour guider nos choix alimentaires. Il ne remplace en aucun cas une éducation nutritionnelle adéquate et une lecture attentive des informations nutritionnelles complètes sur les emballages. Il est important de prendre en compte les besoins individuels et de consulter des professionnels de la santé pour obtenir des conseils personnalisés.
Pour en savoir plus, et profiter d’un accompagnement personnalisé pour vos choix alimentaires dans le but d’améliorer votre santé, je suis là !

Quel est, selon toi, le point commun entre le cacao en poudre, les graines de lin et la sardine ?
Un indice : il ne s’agit pas de leur goût prononcé.
Ce sont des aliments très riches en magnésium !
Mais je ne te mettrai pas au défi de réaliser une recette mixant ces 3 ingrédients.
Il y a beaucoup plus simple pour obtenir ta ration quotidienne de magnésium.
Car il y a peut-être urgence : comme 3 personnes sur 4, tu manques probablement de magnésium.
C’est un fléau qui touche toutes nos sociétés modernes : nos habitudes de consommation ne nous permettent plus de trouver assez de magnésium dans notre alimentation.
Le problème avec la carence en magnésium, c’est qu’elle est difficile à repérer.
Tu pourrais par exemple remarquer des symptômes aussi discrets que :
- Des crampes et des fourmillements ;
- De la fatigue récurrente ;
- Des difficultés d’endormissement ;
- De la nervosité ou de l’anxiété ;
- Des palpitations ou des tressautements de paupière.
Tu vois, tu ne risques pas de te réveiller un matin avec la certitude que tu manques de magnésium.
Pour autant, je te déconseille d’attendre d’en manquer pour commencer à te supplémenter.
C’est comme si je te disais d’attendre de mourir de soif avant de boire un verre d’eau !
Au même titre que l’air que tu respires ou l’eau que tu bois, le magnésium est un élément vital pour ta santé.
Il intervient dans plus de 300 réactions cellulaires vitales
Le magnésium est un minéral essentiel pour le bon fonctionnement de votre organisme
Par exemple :
- Il protège tes cellules des métaux lourds ou des toxines présents dans l’environnement.
- Il intervient dans la régulation du taux de sucre dans le sang.
- Il contribue au bon fonctionnement de ton système immunitaire mais aussi de tes systèmes musculaires et nerveux.
- Il soutient la production d’énergie et renforce la solidité de tes os.
- Il aide ton cœur à battre régulièrement en favorisant la transmission nerveuse et la relaxation après la contraction musculaire.
Et je pourrais continuer cette liste sur des pages et des pages !
Tu l’as bien compris : quand tu manques de magnésium, c’est tout ton état de santé qui se dégrade.
A l’inverse, une bonne supplémentation en magnésium a des effets étonnants sur l’organisme pour la prévention des maladies :

Magnésium : un minéral qui vaut de l’or pour votre santé
En plus de réduire le stress, l’anxiété et la fatigue, le magnésium a des effets surprenants sur la prévention des maladies :
- Il diminue l’hypertension artérielle, y compris chez les femmes enceintes.
- Il protège des maladies cardiovasculairescar il aide à réduire l’agrégation plaquettaire et donc la formation de caillots sanguins.
- Il protège contre le syndrome métabolique, une pathologie résultant d’un mauvais métabolisme corporel et entraînant excès de cholestérol, hypertension et surpoids.
- Il renforce la mémoire et améliore le fonctionnement cognitif.
- Il améliore la sensibilité à l’insuline, essentielle pour les diabétiques de type 2.
- Il protège contre l’ostéoporose en augmentant la densité minérale osseuse.
- Il améliorerait la fonction pulmonaire des personnes asthmatiques.
- Il soulage les migraines et réduirait leur fréquence de 40%.
- Il améliore l’état des enfants hyperactifs (TDHA) quand il est combiné avec de la vitamine B6.
- Il soulage le syndrome prémenstruel en association avec de la vitamine B6.
Tu dois savoir que l’action et l’assimilation du magnésium sont renforcées quand il est associé avec de la vitamine B6.
Pour une femme, on recommande un apport de magnésium de 300 mg par jour.
Pour un homme, il faut compter 380 mg par jour.

Un dernier conseil avant de choisir ton supplément en magnésium : privilégies une forme hautement assimilable comme le bisglycinate de magnésium.
Il est composé de magnésium et de glycine, un acide aminé qui propose une forme liposoluble mieux assimilée par la paroi intestinale. En plus, cette formule est garantie sans allergène, sans lactose et sans gluten. Elle est parfaitement adaptée pour les personnes intolérantes.
Fais moi Plaisir, oublie les formes dites de ‘marketing’, magnésium marin qui n’ont aucun effet sur l’organisme. Il rentre par la bouche et finiy aussitôt dans nos toilettes !

Pour bien comprendre petit point syntaxe flore intestinale et microbiote c’est la même chose, deux mots différents pour la même chose.
Prendre soin de ta flore intestinale est super important pour ta santé, crois-moi !

Alors voilà, le microbiote intestinal, tu connais ?
C’est en quelque sorte la colonie de micro-organismes qui résident dans ton intestin. C’est fou à penser, mais leur impact sur ta santé est énorme !
La science et la médecine découvrent petit à petit toutes les corrélations qu’il y a entre le microbiote intestinal et diverses maladies.
C’est dingue de se dire qu’il y a toute une population qui vit en nous !
Enfin bref, revenons à notre sujet.
Le microbiote intestinal est en quelque sorte la flore intestinale que tu as peut-être déjà entendu parler. Il est composé de bactéries, de champignons, de virus et d’archées. Et plus on avance dans le tube digestif, plus il y a de micro-organismes !
Je vais te donner une petite comparaison pour mieux comprendre. Imagine que ton intestin est comme un grand immeuble dont tu es le propriétaire. Et les locataires, ce sont les micro-organismes qui y habitent. Tu leur donnes le gîte et le couvert, et en échange, ils t’aident à te maintenir en bonne santé.
C’est un vrai échange gagnant-gagnant !
Du coup, pour prendre soin de ton microbiote intestinal, il y a plusieurs choses à faire. Tu peux consommer des probiotiques, des prébiotiques, et avoir une alimentation adaptée pour que tout ce petit monde se sente bien dans ton ventre. C’est super important pour ta santé en général, alors n’hésite pas à y prêter attention !
Mais attention, cet équilibre est fragile et peut vite être perturbé.
Si certains micro-organismes sont expulsés injustement, des squatteurs viendront prendre leur place et mettront le bazar dans ton grand immeuble. Ou bien, d’autres ethnies se développeront de façon anarchique, recevront une pagaille totale. C’est donc ton rôle de veiller à ce que cet équilibre précaire reste harmonieux.
Mais pourquoi le microbiote intestinal est-il si important ?
Tout simplement car il impacte directement ou induit de nombreuses fonctions de ton organisme et est corrélé avec des pathologies variées, qu’elles soient digestives ou non. Et même si les découvertes sont encore récentes et que la physiopathologie exacte reste floue, il est important de comprendre que ces micro-organismes invisibles ont un impact considérable sur ta santé. Donc, fais en sorte de bichonner ton microbiote et ton intestin en adoptant une alimentation adaptée, en consommant des probiotiques et des prébiotiques. Ton corps te remerciera !
Fonction barrière et impact sur le système immunitaire
Comme on l’a dit plus haut, le biofilm créé par les micro-organismes du mirobiote intestinal fait partie intégrante de ce qu’on appelle la barrière intestinale, avec le fonctionnement de la muqueuse en elle même.
Ainsi, c’est indirectement que le microbiote influe sur l’efficacité du système immunitaire, sur la tendance pro ou anti-inflammatoire, sur les allergies, ou encore l’apparition de maladies auto-immunes.
Un lien de corrélation est également effectué entre les Maladie Inflammatoire Chroniques de l’Intestin (comme la maladie de Crohn) et la qualité du microbiote. Certaines souches seraient en effet en quantité insuffisantes chez les personnes souffrant de ces maladies
Le microbiote est aussi mis en cause dans les troubles fonctionnels de l’intestin (comme le Syndrome de l’Intestin Irritable)
Impact sur le métabolisme :
Le microbiote a une activité métabolique équivalente à celle d’un organe du corps. Autrement dit : il s’en passe des choses là dedans ! Ça bosse ! Il y a de le production, de la dépense et de la création d’énergie, et du déchet !
Un lien est également mis en évidence : celui de l’obésité avec la qualité de la flore intestinale.
Certaines souches de bactéries, lorsqu’elles sont plus présentes dans la colonie constitueraient un facteur de risque à l’obésité ou encore à l’apparition du diabète de type 2.

Impact sur le psychisme
La colonie qui vit dans ton intestin a également une influence non négligeable sur le psychisme. En effet la plupart d’entre nous sont conscient de l’impact du cerveau sur l’intestin, mais l’inverse est tout aussi vrai !
Le microbiote intestinal a un impact significatif sur le psychisme. Bien que la plupart d’entre nous connaissent également l’impact du cerveau sur l’intestin, l’inverse est vrai. La qualité du microbiote est associée à des pathologies telles que l’autisme, où des études ont montré qu’une amélioration de la flore intestinale peut réduire la gravité des symptômes.
De même, le microbiote est impliqué dans la pathogénie de la schizophrénie.
Impact sur les autres microbiotes du corps
Il va sans dire que le microbiote intestinal est le chef de file de tous les microbiotes de l’organisme puisqu’il existe une flore résidente à peu prés partout sur le corps : sur ta peau, , dans ta bouche, sur tes parties intimes etc…
Un déséquilibre du microbiote intestinal va influencer les autres zones. C’est ainsi que les femmes souffrant de candidose digestive (développement anormal du candida albicans, un champignon, dans le tube digestif) se verront également souffrir de mycoses vaginales fréquentes, ou de mycoses unguéales (sur les ongles).
Quels facteurs impactent la qualité de TON microbiote ?
Le microbiote se développe petit à petit depuis la naissance, et de nombreux facteurs que tu ignores peut-être peuvent influencer sa qualité.
La naissance par césarienne
Lorsqu’un enfant naît par césarienne, il est extrait du ventre de sa mère de façon chirurgicale, et ne passe donc pas par les voies naturelles qui constituent pour lui un premier ensemencement avec la flore vaginale de sa mère.
Cet ensemencement est un premier pas vers un bon développement de son propre microbiote intestinal.
Bien entendu, la césarienne n’est jamais pratiquée au hasard et si l’indication d’une telle intervention a été posée, c’est qu’une naissance par voie basse constituait un risque important pour la maman, le bébé ou les deux. Néanmoins, cet état de fait peut constituer un facteur défavorisant le bon développement de la flore du bébé.
L’allaitement maternel
Deuxième point important, dont chacun de nous n’est pas responsable : l’allaitement maternel. Au delà de la transmission des anticorps, la mise au sein du bébé, permet également un ensemencement avec la flore de sa mère.
Il ne s’agit pas là de culpabiliser les femmes qui s’y seraient refusées, ou qui auraient été dans l’incapacité de nourrir leur enfant au sein, mais juste d’une prise de conscience de ce qui peut influencer la qualité du microbiote intestinal.
Les traitements antibiotiques à répétition
Là encore, le débat n’est pas de discuter du bien-fondé des traitements antibiotiques.
Le problème c’est que les antibio, ils dégomment les bactéries pathogènes (merci bien, parce que c’est pour ça qu’on prend le traitement) mais ils défoncent aussi les « bactéries-amies » ! Ils font pas dans le détail ! Du coup tout l’écosystème s’en trouve perturbé !
Il peut être judicieux d’accompagner le traitement antibiotique par la prise de probiotiques pour éviter qu’il n’y ait trop de dégâts sur le microbiote… On verra ça un peu plus loin dans l’article.
La pilule contraceptive
La pilule contraceptive a également un impact très négatif sur la qualité du microbiote, aussi parce que bien souvent, elle est prise sur du très très long terme. Les femmes qui ont pris la pilule sur 10 ou 20 ans ne sont pas rares, faute d’avoir trouvé d’autres moyens de contraception suffisamment efficace à leurs yeux.
Les traitements par Inhibiteurs de la Pompe à Proton
C’est ce qu’on appelle plus communément les IPP. Ce traitement est en général donné aux personnes qui souffrent de brûlures gastriques et de remontées acides. Il peut parfois s’avérer nécessaire, mais doit rester temporaire, car les IPP au long cours bouleversent le microbiote digestif.
Malheureusement de nombreuses personnes consomment des IPP au quotidien car sans eux, elles n’arrivent pas à calmer leurs brûlures à l’estomac.
Un manque d’acidité dans l’estomac entraîne une mauvaise vidange, plus lente, et moins efficace, tout simplement parce que les étapes de digestions qui sont sensées s’y dérouler n’ont pas pu se faire en temps et en heure, donc tant que ça n’est pas fini, ça ne se vidange pas… L’estomac est plein, longtemps, ça fermente la dedans, et ça a tendance à remonter et à brûler l’œsophage qui n’est pas équipé pour supporter la présence de ce contenu…
Et qu’est ce qui provoque un manque d’acidité dans l’estomac ??? Le stress par exemple …
Il faut voir le problème ailleurs si les IPP ne fonctionnent pas.

L’alcool et le tabac
Tabac et alcool ne font pas bon ménage avec les colonies de ton intestin ( et de tout ton corps d’ailleurs). En outre, un lien de corrélation a été fait entre l’arrêt du tabac et la prise de poids qu’il entraîne souvent, en dehors de toute compensation alimentaire. La modification de la flore créée par le sevrage, engendrerait une digestion et une métabolisation différentes des nutriments et des calories de la nourriture ingérée.
L’alimentation
Bien entendu, tu t’en doutais, l’alimentation a un effet énormissime sur tout ce beau monde qui réside dans ton intestin ! Mais ça, c’est un facteur sur lequel tu peux agir, contrairement à la plupart des autres. Une alimentation riche en fibres est indispensable à la bonne santé de ta flore intestinale.
Comment prendre soin de ton microbiote ?
Il faut bien faire la nuance entre le rééquilibrage d’une flore déséquilibrée (ce qui est un travail de longue haleine qui ne se fait pas n’importe comment) et l’entretien d’une flore qui va bien et sur laquelle on travaille au maintien de l’équilibre.
Un déséquilibre du microbiote intestinal s’appelle une dysbiose. Cette dysbiose peut se manifester par des douleurs abdominales, des ballonnements, de la constipation, des diahrrées voire une alternance des deux, des flatulences trop fréquentes, particulièrement odorantes.
La dysbiose peut concerner le côlon, mais aussi l’intestin grêle avec un développement anormal et trop abondant dans cette partie du tube digestif, voire même un reflux du duodenum vers l’estomac, provoquant des fermentations anormales…
Le microbiote intestinal étant une composante à part entière de la barrière intestinale, la dysbiose va bien souvent de paire avec l’hyper-perméabilité intestinale : à savoir le phénomène d' »intestin-passoire »
Que faire en cas de dysbiose soupçonnée
Dans un premier temps il convient de consulter un gastro-entérologue afin d’éliminer toute autre éventuelle pathologie, car les signes précédemment cités sont bien souvent retrouvés dans de nombreuses pathologies digestives. Il convient de diagnostiquer la maladie, s’il y en a une, avant d’envisager quoi que ce soit comme procédure.
Dans un deuxième temps, je pense sincèrement que prendre des probiotiques en gélules en première intention est une erreur.
En effet je fais partie de ceux qui pensent qu’il faut d’abord éliminer les indésirables avant de tenter de réensemencer.
Apporter des probiotiques dans une colonie où règnent les indésirables, et où certaines ethnies se sont développées à outrance, ne ferait que les nourrir.
Ce protocole que je conseille à mes clients est systématiquement individualisé. Ce travail ne peut se faire que dans le cadre d’un bilan de vitalité approfondi.
Il est donc essentiel de contacter un médecin et un naturopathe en cas de suspicion de dysbiose. Les probiotiques ne remplacent pas votre propre flore, mais leur présence peut favoriser le retour à l’équilibre une fois les indésirables éliminés ou les souches excessives régulées.
Comment favoriser le maintien d’une flore bien équilibrée :
Une alimentation riche en fibre :
C’est simple, les fibres sont des prébiotiques, c’est à dire la nourriture de ta flore. Plus ton alimentation est équilibrée en fibres alimentaires et plus ils se régalent !
Les fibres sont contenues dans les fruits et les légumes bien sûr, mais pas seulement !
Tu peux aussi ajouter dans ton alimentation des oléagineux, des graines de chia et des graines de lin que tu auras préalablement moulues (pour les graines de lin)
Consommer des aliments-probiotiques :
Certains aliments solides ou boissons sont de véritables probiotiques en eux-même.
Ici on ne parle pas d’apporter des probiotiques grâce à des gélules de souches bactériologiques mais bien de manger des aliments.
Rien de tel que l’alimentation pour apporter à ton corps ce dont il a besoin : tu dois toujours commencer par là avant de passer à des compléments.
Parmi les aliments qui favoriseront le maintien de ta flore on retrouve les aliments fermentés comme la choucroute, les cornichons, les yaourts, le kéfir de fruit, le kéfir de lait, le kombucha et tous les aliments lacto-fermentés que tu auras pu conserver en saumure.
Une consommation régulière de ces éléments contribuera à maintenir une bonne flore intestinale. Mais comme d’hab : on abuse de rien !
Accompagner tes traitement antibiotiques par une cure de probiotiques
Si tu dois prendre un traitement antibiotique, pense à l’accompagner avec une cure de probiotiques en gélule. Certains y sont spécialement dédiés. Cela évitera que l’antibio ne fasse un trop gros carnage parmi tes « bactéries-amies » et que tu ne sois dans l’obligation de traiter une dysbiose par la suite.

La greffe fécale : un nouvel espoir ?
Alors ça va te paraître complètement fou mais maintenant, en cas d’infection récurrente au clostridium difficile on peut envisager une greffe fécale (appelée bactériothérapie fécale). Ce qui veut dire que la personne malade reçoit une greffe bactériologique issue d’un donneur de selles ! Et ça marche ! Cette procédure encore au stade expérimental est très prometteuse !
L’intestin a une grande importance pour nous autres les naturopathes, et nous nus attachons toujours à le rééquilibrer en priorité s’il montre des signes de faiblesse… Veux tu savoir pourquoi ?
