
Le cacao est réputé pour ses bienfaits pour la santé, mais qu’en est-il du chocolat ?
La réponse est que tout dépend de sa teneur en cacao et des ingrédients qui le composent. Comme bien souvent ! Je vais essayer dans cet article d’être la plus claire et concise possible ! Ne décroche pas car a la fin de ta lecture tu verras le chocolat d’un ‘super’ bon œil.
Si tu consommes du chocolat noir, tu peux réduire le risque cardiovasculaire. Cependant, il y a d’autres avantages à prendre en compte. Étant donné que le chocolat est fabriqué à partir de fèves de cacao, il représente une source intéressante d’antioxydants et d’autres molécules protectrices. Alors, examinons ensemble plus en détail sa composition.
Les variétés de chocolat
Il existe plusieurs variétés de chocolat, chacune ayant sa propre composition. Le chocolat noir apporte plus de cacao que le chocolat au lait. Quant au chocolat blanc, il est en fait non pas du chocolat issu de la fève de cacao mais du beurre de cacao (soit la matière grasse)
Plus votre chocolat est noir et riche en cacao, moins il contient de sucre. C’est pourquoi je te conseille et te recommande de consommer un chocolat avec 85 % de cacao.
L’indice glycémique (IG) du chocolat varie en fonction du type de chocolat. Il est plus élevé pour le chocolat au lait (IG = 49) que pour le chocolat noir (IG = 43) ou le chocolat à dessert (IG inférieur à 40). Cependant, cet IG reste toutefois dans des valeurs d’IG bas car il est inférieur à 50, probablement grâce à la présence de lipides qui ralentissent l’absorption des sucres.
L’indice insulinique du chocolat est également important à connaître. Cela se réfère à son effet sur la sécrétion d’insuline par le pancréas. Moins un aliment sollicite le pancréas, meilleur il est pour la santé. Le chocolat au lait, plus sucré, un indice insulinique plus élevé que le chocolat noir. Cela signifie qu’en mangeant du chocolat au lait, votre pancréas réagit à un pic d’insuline plus élevé qu’avec un chocolat peu sucré. Il est important de savoir cela si vous êtes prédiabétique ou diabétique.
Le chocolat contient également des lipides bénéfiques pour la santé cardiovasculaire, tels que l’acide oléique. Environ 10 g pour 100 g se trouvent dans les lipides du chocolat. Cet acide gras mono-insaturé, particulièrement présent dans l’huile d’olive, est réputé pour sa capacité à réduire le risque de maladies cardiovasculaires.
Le chocolat est également une source de minéraux tels que le magnésium, le potassium et le zinc. Le magnésium est un minéral important pour la prévention du stress, des inflammations et du vieillissement, et le chocolat en contient environ 50 à 200 mg pour 100 g (selon les variétés de chocolat). Le chocolat est également riche en potassium, avec environ 500-750 mg pour 100 g, soit plus de 10 à 20 % des apports journaliers recommandés, et en zinc, avec 1 à 3 mg pour 100 g. Les apports quotidiens recommandés en zinc sont de l’ordre de 10 mg.
Les avantages pour la santé du chocolat sont principalement liés à la présence d’antioxydants. Le cacao est l’un des aliments courants les plus riches en flavonoïdes , des composés antioxydants qui débarrassent nos cellules contre les dommages causés par des particules très réactives appelées radicaux libres.

Le chocolat est également bénéfique pour le système cardiovasculaire. La consommation d’aliments riches en flavanols stimule la libération d’oxyde nitrique (NO), qui est vasodilatateur. Le chocolat favorise la vasodilatation (via le NO), selon plusieurs expériences attendues chez des animaux et des volontaires en bonne santé ainsi que chez des personnes présentant des facteurs de risque. Des études ont montré que la consommation de chocolat noir améliore la circulation sanguine et réduit la pression artérielle, même si l’effet reste modeste. Pour bénéficier de ces bienfaits, il est préférable de choisir un chocolat noir, riche en flavonoïdes.
Tu l’as bien compris les Flavanols sont un atout santé du chocolat à ne pas négliger car ils permettent la réduction du stress cardiovasculaire.
Une étude de 2021, publiée dans le journal Nutrients confirme les bienfaits des flavanols du cacao sur la fonction vasculaire et donc sur le risque d’évènements cardiovasculaires (accident vasculaire cérébral, maladie cardiaque et thrombose), notamment lorsque ceux-ci sont liés au stress. Le stress mental a un effet négatif sur la fonction vasculaire et il induit des augmentations immédiates de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle chez les adultes en bonne santé. Le stress entraîne notamment des altérations temporaires de la fonction vasculaire même après la fin de l’épisode de stress.
Dans une étude randomisée, 30 hommes en bonne santé ont bu une boisson au cacao riche en flavanols 90 minutes avant de réaliser un test de 8 minutes permettant de générer un stress mental. Ils ont réalisé le même test après avoir bu une boisson pauvre en flavanols. Les chercheurs ont mesuré le flux sanguin de l’avant-bras et l’activité cardiovasculaire au repos et pendant le stress et ils ont évalué le fonctionnement des vaisseaux sanguins jusqu’à 90 minutes après le stress. Leurs résultats indiquent que la boisson au cacao riche en flavanols permet d’atténuer le dysfonctionnement endothélial (et donc l’altération de la fonction vasculaire) induit par le stress. En effet, les vaisseaux sanguins fonctionnent mieux pendant un stress mental lorsque les participants ont reçu une boisson riche en flavanols que lorsqu’ils prennent une boisson standard. Les chercheurs ont également remarqué que les flavanols du cacao amélioraient la circulation sanguine. Boire du cacao riche en flavanols pourrait donc être une stratégie diététique efficace pour réduire les altérations temporaires de la fonction endothéliale (amas de cellules qui ont une fonction précise, comme protéger un afflux de sang etc..). Allez ne décroche pas… résiste c’est encore plus intéressant après.
Chocolat et cerveau

En promouvant une meilleure circulation du sang dans le cerveau, le chocolat pourrait améliorer les performances cognitives. C’est en tout cas le résultat d’un petit essai clinique anglais publié fin 2020 dans Scientific Reports . Les chercheurs ont donné à 18 participants en bonne santé soit du chocolat normal, soit du chocolat riche en flavanols. Deux heures après, ils ont fait respirer l’air contenant 5 % de dioxyde de carbone afin d’activer l’apport d’oxygène dans le cerveau en accroissant le flux sanguin cérébral (voir figure ci-dessous). Cartes des cerveaux des participants avant (0 h) et après (2 h) la consommation d’une préparation faible (low-flavanol) ou riche (high-flavanol) en flavanols.
D’après le Dr Catarina Rendeiro, de l’université de Birmingham, et ses collègues, les participants ayant consommé le chocolat riche en flavanols ont montré une oxygénation cérébrale trois fois plus intense et plus rapide, avec une minute d’avance, par rapport aux autres. De même, ils ont obtenu de meilleurs résultats que les autres aux tests cognitifs concernant des tâches difficiles. Ces effets bénéfiques sur le cerveau pourraient être liés à la présence de caféine et de théobromine dans le cacao. La théobromine et la caféine influencent de manière positive notre humeur et notre état de vigilance.
Comme le chocolat semble améliorer les fonctions cognitives, un chercheur suisse s’est amusé à comparer la consommation des pays en chocolat et le nombre de Prix Nobel qu’il comptait sur son territoire. Il a ainsi trouvé une corrélation entre les deux.
Par exemple, la Suisse, pays gros consommateur de chocolat, fait partie des nations qui comptent le plus de Prix Nobel…Hummm belle promotion pour la Suisse 😉
Bien évidemment, une telle corrélation ne montre pas une relation de cause à effet et d’autres paramètres entrent en jeu. Mais si vous offrez des chocolats à Noël, vous pouvez toujours argumenter que c’est pour espérer décrocher un Prix Nobel !
Chocolat et microbiote
Le cacao a un effet prébiotique : il nourrit les bonnes bactéries de l’intestin. Cet effet serait dû, là encore, à ses polyphénols. Une étude contrôlée en double aveugle a montré qu’une boisson riche en cacao augmente les populations de bifidobactéries et lactobacilles et diminue la famille des Clostridia, qui appartient aux Firmicutes.
Bon pour la peau Les flavanols du cacao pourraient également protéger la peau contre les dommages dus aux rayons ultraviolets comme le défaut de petites études.
Ainsi, dans une étude sur 30 personnes en bonne santé, Certaines ont mangé 20 g par jour de chocolat riche en flavanols et les autres un chocolat pauvre en flavanols. Au bout de 12 semaines, le chocolat riche en flavanols diminuait la sensibilité de la peau aux rayons ultraviolets, apportant une forme de photoprotection.
Dans une autre étude, la consommation de cacao riche en flavanols a entraîné une augmentation du flux sanguin des tissus cutanés et sous-cutanés et de l’hydratation de la peau. Pour ces raisons, le cacao se retrouve dans différents produits cosmétiques.
Un mot de mise en garde
Une grande partie de la recherche ayant mis en évidence les avantages potentiels du chocolat et du cacao pour la santé a été financée par des entreprises de chocolat telles que Mars, écrit Jérémy Anso, dans Santé, mensonges et (toujours ) propagande. « Ces essais coûtent cher », et le financement public des études sur la nutrition en général est limité. « Les résultats des études parrainées par l’industrie alimentaire, y compris celles sur le chocolat, sont plus susceptibles d’être favorables aux entreprises qui les financent », dit-il.
Ne pas oublier
Le chocolat est régulièrement mis en cause dans l’apparition de calculs rénaux en raison de la présence d’acide oxalique. Par ailleurs, moins un chocolat est riche en cacao, plus il contient de sucre et de calories. Manger trop de chocolat peut ainsi conduire au surpoids. C’est pourquoi il est important de choisir des chocolats de qualité, avec peu d’additifs et au moins 85 % de cacao.

Le maintien de l’équilibre acido-basique est essentiel à la santé de l’organisme. Notre alimentation moderne a tendance à faire pencher la balance vers trop d’acidité. Découvrez un exemple de menu complet et gourmand pour rétablir une bonne proportion entre aliments acidifiants et aliments alcalinisants .
Les principes de l’équilibre acido-basique et son impact sur la santé
Un pH neutre est égal à 7 . En dessous de cette valeur, le pH est acide, au-dessus, il est basique ou alcalin. L’équilibre acido-basique correspond à la balance entre taux d’acidité et taux d’alcalinité. Il est directement influencé par l’alimentation. Un organisme trop acide est dit en acidose . Il s’expose à des conséquences néfastes comme la fatigue chronique, des phénomènes inflammatoires, ostéoporose,…
Il faut toutefois distinguer un aliment acide et un aliment acidifiant. Pour le premier, il s’agit uniquement d’une notion de goût. C’est le second qui est à surveiller, en raison de l’effet qu’il produit quand il est digéré et métabolisé : il contribue à acidifier l’organisme.
Un bon régime acido-basique est constitué de 70 % d’aliments alcalinisants et 30 % d’aliments acidifiants. Il fait la part belle aux produits bruts non transformés, bio, frais et de saison. Les aliments alcalinisants comprennent les fruits, légumes, oléagineux, épices… Les aliments acidifiants sont principalement les produits d’origine animale (viande, œufs, produits laitiers…), les farines et sucres raffinés.
Si vos habitudes alimentaires ne permettent pas de suivre un régime acido-basique équilibré, le complément ALCAFLORE du Laboratoire Lescuyer peut être utile. Il contient plusieurs minéraux alcalinisants tels que le calcium, le magnésium, le zinc, le potassium et le manganèse. Trois plantes ont été inclues dans la formulation pour leurs propriétés drainantes. Le bouleau, le pissenlit et la reine-des-prés aident l’organisme à éliminer les acides.
A quoi ressemble une journée de régime acido-basique ? Voici un menu gourmand pour le petit-déjeuner, le déjeuner et le dîner, qui conviendra aussi aux végétariens. Les proportions sont données à titre indicatif. En effet, les portions recommandées sont variables selon le poids, l’état de santé, le niveau de stress…

Menu petit-déjeuner
Commencez votre journée avec le jus d’un demi-citron dilué dans un verre d’eau tiède. Ce mélange, très alcalinisant, réveille en douceur l’organisme et stimule le foie et les intestins.
Attendez ensuite 15 min avant de manger, le temps de digérer votre jus de citron.
Pour votre petit-déjeuner, vous pourrez ensuite prendre :
1 thé ou 1 café ou 1 latte au lait d’amande ou de soja 1 œuf à la coque
2 tranches de pain complet beurré
Bonus santé : Ce menu apporte des protéines et des glucides complexes qui donnent de l’énergie pour
commencer la journée et évitent les fringales en milieu de matinée.
Menu déjeuner
Entrée : houmous de betterave Plat : pâtes aux courgettes Dessert : 1 kiwi
1. Recette du houmous de betterave (ingrédients pour 2 personnes) :
1 grosse betterave cuite à la vapeur et pelée
1 yaourt au soja nature
1 petite gousse d’ail
pour l’assaisonnement : du citron, du poivre noir du kasha, graines de sarrasin torréfiées
Préparation : Mixez la betterave, le yaourt, la gousse d’ail pelée et coupée en morceaux jusqu’à obtenir une préparation lisse. Ajoutez un peu de jus de citron et de poivre. Répartissez dans des ramequins et parsemez de kasha. Placez quelques minutes au réfrigérateur avant de manger, afin de consommer ce houmous très frais.
Bonus santé : Les graines de kasha sont riches en fibres, en antioxydants et sont de très bons alliés détox. 2. Recette de pâtes aux courgettes (ingrédients pour 4 personnes) :
4 petites courgettes
300g de pâtes au blé complet
1 gousse d’ail
4 cuillères à soupe d’huile d’olive
1 cuillère à café de cumin moulu
1 cuillère à café de coriandre moulue
1⁄2 cuillère à café de curcuma
1⁄2 cuillère à café de poivre noir moulu
1 cuillère à soupe d’herbes de Provence le jus d’1/2 citron
du sel
Préparation :
La veille, faites une marinade en mélangeant l’huile d’olive, l’ail pressé, le cumin, la coriandre, le curcuma, le poivre noir, les herbes de Provence et le jus de citron. Pelez les courgettes et taillez-les en fines lamelles avec un économe. Mélangez-les à la marinade. Gardez le tout au réfrigérateur pendant une nuit.
Le jour-J : Sortez la marinade à température ambiante. Cuisez les pâtes le temps indiqué sur le paquet, égouttez- les. Reversez les pâtes chaudes dans la casserole, ajoutez la marinade. Mélangez et salez si nécessaire.
Bonus santé : Les légumes crus, comme ici les courgettes, conservent l’intégralité de leurs vitamines et minéraux. Menu dîner
Entrée : salade antioxydante
Plat : gratin de courge
Fromage ou dessert : 30 g de fromage de chèvre ou de brebis frais, ou 4 carrés de chocolat noir à 70%
1. Recette de salade antioxydante (ingrédients pour 4 personnes) :
1⁄4 de chou rouge 1 chou rave
1 mangue
1 poivron rouge 1 échalote
1 citron
2 cuillères à soupe d’huile de colza
1 cuillère à soupe de coriandre ciselée sel et poivre
Préparation : Emincez finement le chou rouge. Pelez et coupez le chou rave en très fines lamelles. Pelez et découpez la mangue en petit cubes. Détaillez le poivron en fines lamelles. Pelez et émincez l’échalote. Fouettez le jus de citron et l’huile de colza, versez sur les légumes et mélangez bien.
Bonus santé : Les légumes coupés s’oxydent vite quand ils sont au contact de l’air. Consommez la salade aussitôt pour profiter de toutes ses vitamines.
2. Recette de gratin de courges (ingrédients pour 4 personnes) :
1 grande courge butternut
1 cuillère à soupe d’huile d’olive
picto menu
1 oignon
50 g de fromage râpé (type emmental) 2 pincées de muscade
sel, poivre
Préparation : Coupez la courge en deux, ôtez les pépins. Disposez les deux moitiés dans un plat allant au four, couvrez de papier aluminium et faites cuire 45 minutes à 200°C (la chair doit être tendre). Sortez du four et laissez tiédir. Pendant ce temps, pelez et émincez l’oignon. Faites-le fondre dans une poêle dans l’huile chaude. Creusez la chair de la courge, sans abîmer la peau. Mélangez la chair avec l’oignon, le fromage, la muscade, du sel et du poivre. Garnissez les demi-courges avec cette farce et remettez 15 min au four pour faire dorer.
Bonus santé : La courge butternut donne une texture très gourmande tout en étant peu calorique.

Le psoriasis : c’est quoi ?
Le psoriasis est une maladie inflammatoire chronique de la peau, d’origine auto-immune. Ce qui veut dire que ton propre corps se retourne contre lui-même.
Des plaques épaisses, rouges et bien délimitées apparaissent, avec à leur surface une couche blanchâtre qui desquame (c’est-à-dire qui se dessèche et se décroche facilement). Il s’agit en fait d’une prolifération et d’une différenciation anormales de cellules de la peau appelées kératinocytes.
On connaît essentiellement le psoriasis comme une maladie cutanée, pourtant la peau n’est pas le seul organe atteint. Dans 1 cas sur 3, la pathologie atteint également les articulations, créant une maladie rhumatismale articulaire. On parle de rhumatisme psoriasique.
Le psoriasis ne se guérit pas, il évolue le plus souvent par poussées tout au long de la vie. Tantôt silencieux, il peut réapparaître de façon violente .
Les causes du psoriasis :
Que se passe-t-il physiologiquement, lors du psoriasis ?
Cette maladie résulte de l’interaction entre les kératinocytes (des cellules de la peau),les cellules dendritiques (type de globule blanc), et les lymphocytes T (autre type de globule blanc) entre lesquels se met en place un cercle vicieux d’activation cellulaire réciproque induisant les lésions et favorisant leur persistance.
C’est-à-dire que ces 3 types de cellules se stimulent les unes les autres, et c’est ce qui crée les plaques caractéristiques.
Genèse du psoriasis :
Mais à l’évidence, ce sont des facteurs environnementaux cumulés qui favoriseraient l’apparition de cette dermatose qu’est le psoriasis, sur un terrain génétiquement prédisposé.
Tout le travail de la naturopathie va être de travailler sur ces facteurs favorisants le psoriasis, que tu peux éventuellement cumuler et présenter, pour empêcher l’apparition des crises !
Pas de facteurs favorisants = pas de crise ! CQFD !
Signification émotionnelle du psoriasis
Comme les autres maladies touchant à la peau, le psoriasis est en rapport avec l’image de soi.
Voilà comment la maladie peut être interprétée au niveau émotionnel.
Ces propositions au psoriasis sont bien sûr à mettre en corrélation avec ta propre histoire et ton propre vécu.
Pour les personnes hypersensibles, le psoriasis peut représenter une armure pour se protéger du monde extérieur, ou un moyen de contrôler l’amour des autres.
La maladie aurait également un rapport avec un conflit de séparation, voire un double conflit de séparation.
Les pistes à explorer en naturopathie
La gestion du stress : première arme contre le psoriasis en naturopathie
Comme de nombreuses pathologies cutanées chroniques, le psoriasis va déclencher des poussées en cas de stress intense ou de stress chronique.
En effet, de par les sécrétions hormonales qu’il induit, (particulièrement le cortisol sur le long terme) le stress a un énorme impact sur le système immunitaire.
Et dans le psoriasis, le système immunitaire part en cacahuète pour se retourner contre ton propre organisme.
Les outils de gestion du stress sont nombreux : musique, méditation, yoga, sport, alimentation.
L’état d’encrassement de l’organisme
La peau est un organe émonctoire secondaire , c’est-à-dire un organe d’élimination des déchets de l’organisme. Dans le corps, il existe 5 émonctoires :
- Les intestins
- Le foie
- Les poumons
- Les reins
- La peau
Qui évacuent 2 types de déchets :
- Les déchets colloïdaux (ce qu’on appelle vulgairement les « colles »). Ce sont des déchets qui vont se matérialiser sous forme molle visqueuse et collante
- Les déchets cristalloïdaux (ce qu’on appelle les « cristaux ») qui se matérialisent en créant des cailloux, des calculs, des calcifications.
Certains organes émonctoires ont la capacité d’évacuer une grande quantité de déchets. Certains peuvent évacuer un seul type de déchets, d’autres les 2.
C’est le cas de la peau qui peut évacuer les déchets cristalloïdaux via la sueur, et les déchets colloïdaux via le sébum, mais tout ceci en petite quantité seulement. Voilà pourquoi il s’agit d’un organe émonctoire secondaire. A cause de sa capacité limitée en terme de quantité.
Ton corps ne choisit de passer par la peau pour évacuer massivement les déchets que si les autres émonctoires sont engorgés ! Autrement dit, il cherche une autre porte de sortie à tout prix .
C’est ainsi que se développent souvent les maladies de peau, qui témoignent d’une évacuation massive de déchets sur cet organe émonctoire secondaire.
Le travail consistera alors à nettoyer l’organisme et particulièrement les organes émonctoires concernés, afin que le corps ne choisisse plus la peau pour évacuer massivement ses déchets.
L’inflammation et le système immunitaire : 2 éléments à rééquilibrer dans le psoriasis
Il conviendra également d’étudier en détail ton système immunitaire. Deux problèmes se posent dans le cas du psoriasis :
- L’inflammation chronique
- Le côté auto-immun
La qualité de l’alimentation affecte aussi grandement le système immunitaire, et certains aliments peuvent être à proscrire totalement en cas de psoriasis, comme le gluten ou le lait de vache car ils sont agressifs et pourvoyeurs de déchets (je ne suis pas souvent radicale, mais pour ce genre de pathologie, tendre vers une alimentation hypotoxique de type Seignalet est plus que recommandée)

Le système digestif
En effet, il est en étroite relation avec le système immunitaire et le système nerveux
Ainsi donc si tes intestins ne sont pas au mieux de leur forme, et ça depuis longtemps : pas étonnant que ça se ressente sur le système immunitaire, mais aussi sur le système nerveux.
Rééquilibrer le système digestif devra constituer une priorité, car tant que l’intestin n’est pas apte à faire un bon job, tu pourras mettre en place tout ce que tu veux sur le reste de l’organisme, ça n’aura pas d’efficacité.
La balance acido-basique
Les excès d’acides tissulaires font également le lit des pathologies inflammatoires chroniques, du fait de l’impact sur le système immunitaire. Ainsi rééquilibrer cette balance peut s’avérer nécessaire afin de limiter les crises !
Voici quelques remèdes pour aider :
Aloe vera : Appliqué sous forme de gel sur les zones affectées par la maladie, l’aloe vera permettra une meilleure cicatrisation.
Il soulagera les démangeaisons et apportera plus de confort aux personnes atteintes de psoriasis.
Il possède une action anti-inflammatoire, permet une meilleure hydratation et améliore l’élasticité de la peau
L’huile de germe de blé : Souvent utilisée en dermatologie, l’huile de germe de blé est riche en vitamine E et en acides gras insaturés oméga 6, ce qui lui procure une action adoucissante et régénératrice.
Le vinaigre de cidre : Le vinaigre de cidre est bien connu pour ses nombreuses vertus. Il peut s’avérer utile contre le psoriasis. Utilisé en lotion, il agira contre les démangeaisons et sera apaisant sur les croûtes.
Dans un contenant mélange :
- 3/4 d’eau
- 1/4 de vinaigre de cidre
Applique cette solution sur les plaques, puis sèche doucement en tamponnant.
Tes démangeaisons s’en trouvent soulagées. Plus d’envie de gratter !
Le bicarbonate de soude : Encore un ingrédient à tout faire : le bicarbonate ! Et pour le psoriasis il peut servir aussi !
Tu peux tout simplement faire un bain au bicarbonate de soude, en ajoutant 200 g de bicarbonate à l’eau de ton bain. Ça calmera les démangeaisons avec option détente dans le bain !
Si tu n’as pas de baignoire, tu peux te faire une lotion au bicarbonate à appliquer, ou même tremper un linge dans ta solution et le disposer sur la zone
La bardane et la pensée sauvage : La bardane et la pensée sauvage sont des plantes dépuratives de la peau qui permettront de nettoyer et de drainer ta peau en profondeur .
L’ortie : En cure, l’ortie peut améliorer la qualité de ta peau. de par son effet reminéralisant elle sera également intéressante pour les personnes au terrain acide.
Argile verte : En application régulière, les cataplasmes d’argile verte permettront d’améliorer la qualité de la peau sur les zones touchées et de soulager les démangeaisons grâce à ses propriétés assainissantes et absorbantes.
Synergie d’huiles essentielles : Tu peux aussi te préparer une lotion à base d’huiles essentielles en synergie pour t’aider à débarrasser la peau de ses plaques :
- 10 gouttes d’huile essentielle de géranium rosat
- 10 gouttes d’huile essentielle de lavande fine
- 10 gouttes d’huile essentielle de tea tree
- 7 ml d’huile végétale de calendula

Rejet, abandon, trahison, humiliation, injustice voici les 5 blessures selon Lise Bourbeau. Elles affectent et dirigent nos états émotionnels et nous empêchent d’être pleinement « nous-mêmes ». En se basant sur les recherches de grands psychiatres tels que Freud et Wilhlem Reich, Lise Bourbeau a défini un protocole pour nous « déprogrammer » de l’impact de certaines blessures affectives qui n’en finissent pas de conditionner notre vie relationnelle dans tous les domaines.
Souvent, l’une de ces « blessures de l’âme » domine chez une personne, mais elle peut se combiner à une autre (par exemple, la blessure de rejet est toujours présente derrière la blessure d’injustice). C’est dans l’enfance que ces blessures se sont inscrites en nous, quand nous n’avions pas les outils psycho-affectifs pour limiter leur impact d’autant qu’elles « venaient » d’adultes censés vouloir notre bien, nos parents en premier lieu (qui, avant nous, en avait certainement fait les frais.)
Pour nous en protéger, nous avons adopté des stratégies de défense qui continuent à se mettre en place automatiquement chaque fois qu’un enjeu relationnel les réactive ou risque de les réactiver.
Ces protections se renforcent tant que nous n’en prenons pas conscience et finissent par se confondre avec notre personnalité. En réalité, ces défenses ne sont pas des traits de caractère « innés » mais des « masques » qui entravent notre liberté d’être soi et d’évoluer en harmonie avec nos désirs et nos rêves : en effet, on les porte pour se protéger du pouvoir donné à l’autre de nous persécuter, ce qui revient à donner aux autres le pouvoir de nous déterminer.
Lors d’une consultation naturopathique, j’inviterai la personne à lire son ouvrage « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » et « La guérison des 5 blessures » ou de regarder des vidéos sur Youtube que je peux lui envoyer sur des ITW de Lise Bourbeau. Avec l’accord de la personne je pourrai lors d’une consultation de suivie l’aider à mettre en place le protocole de Lise Bourbeau.
Pour Lise Bourbeau, ‘ÊTRE SOI’ c’est savoir ce que nous voulons en sentant ce qui est bénéfique pour nous, même si les autres n’approuvent pas notre choix.
L’étape, pour en arriver là, c’est de parvenir à être à l’écoute de soi pour apprendre à se connaître et à aller dans le bon sens de notre développement. Et pour cela, il est nécessaire de faire tomber les masques.
Reconnaître notre blessure est la première étape pour l’accepter et trouver des réponses selon la réalité de notre vie, de nos souffrances, de nos échecs, de notre malchance, etc. pour parvenir à ne plus s’enfermer dans les mêmes limites.
PROTOCOLE :
Commencez par noter les 5 blessures de mémoire, sans les relire avant. Si vous en oubliez une, ne la négligez pas : c’est peut-être celle qui vous concerne le plus (selon la loi inconsciente des actes manqués !) Si vous hésitez ou ne vous reconnaissez dans aucune, alors que vous vous sentez cependant bloquée dans votre vie, cet exercice peut vous aider.
Notez, même en détail, plusieurs épreuves que vous avez vécues.
Repérez le sentiment qui domine et pour lequel vous vous sentez oppressé.
Soulignez les mots qui reviennent le plus souvent.
Si aucun d’eux ne se résume précisément aux 5 blessures (rejet, abandon, humiliation, trahison et l’injustice), relevez ceux qui s’en rapprochent le plus où les décrivent autrement.
Une même épreuve peut être associée à une blessure différente selon l’histoire et la structure de chacun. Par exemple, une rupture évoquera l’abandon pour vous et la trahison pour quelqu’un d’autre. Une blessure en entraîne souvent une autre, à laquelle elle est associée. Les profils vous aideront à mieux cerner la blessure qui motive vos faits et gestes.
Une fois votre (ou vos blessures) mise à jour, acceptez-là comme étant la vôtre, indépendamment de celui ou celle qui vous l’a infligée (même si vous êtes absolument autorisée à lui en vouloir !). Il est essentiel de prendre la responsabilité de ses propres ressentis pour se déconditionner de l’emprise d’autrui sur soi et sur ses états d’âmes.
Reconnaissez pleinement votre souffrance sans la nier ou la minimiser.
Repérer notre « masque »
Selon l’auteur, nos masques sont le produit de notre « égo » (qui ne sait pas vivre dans le présent et s’adapter à la réalité, mais se réfère toujours à une expérience passée ou à l’idée qu’il se fait des choses) et de ses mécanismes de défense. S’ils ont eu leur utilité à un moment donné de notre vie, ils ont cependant entravé le développement de nos ressources pour faire face au problème. En cela, ils appauvrissent notre personnalité.
Repérer la peur et l’angoisse qui surviennent quand une situation relationnelle réactive, ou risque de réactiver, la blessure fondamentale, permet d’identifier nos stratégies de défense, c’est-à-dire notre masque. Peu à peu, on en prendra conscience et on agira autrement, en harmonie avec nos véritables besoins qui attendent d’être reconnus pour s’épanouir et nous libérer.
1- La blessure de rejet
Sa peur : la panique d’être rejeté.
Son masque : le fuyant.
Enfant, il s’est senti rejeté et ne croit pas à son droit d’exister. S’il recevait des compliments et de l’attention, c’était en seulement en se pliant aux normes de son parent. Devenu adulte, il veut être parfait pour se sentir aimé et la moindre critique sur ce qu’il fait remet en question tout son être. Il s’exclut et se rejette lui-même.
La personne souffrant de blessure de rejet se fait discrète, renfermée et insaisissable pour ne pas risquer de la ressentir à nouveau. Elle a une faible estime d’elle-même et n’est jamais satisfaite de ce qu’elle fait (« c’est nul »). Elle est persuadée que son existence n’a pas d’importance pour les autres. Dans un groupe, elle est fébrile, inquiète, et se sent différente des membres de sa famille (peut penser qu’elle s’est trompée de famille) et en générale, incomprise du genre humain. A développé des moyens de fuite ( « dans la lune », drogue, alcool, jeux virtuels, départs précipités…) et se réfugie dans un monde imaginaire où elle a une place qu’elle ne s’autorise pas à prendre dans la vie. Sa capacité de travail l’ancre dans la réalité. Indifférente aux biens matériels, elle est attirée par le monde intellectuel ou spirituel. On la perçoit comme solitaire et on la laisse seule. Extrêmement perfectionniste, elle ne demande pas d’aide pour ne pas déranger les autres, et parce qu’elle le recevait comme une preuve de sa nullité. Elle pense qu’elle a raté sa vie. Encore pour ne pas déranger ou par peur d’être inintéressante, elle parle peu et se retire.
2- La blessure d’abandon
Sa peur : la solitude
Son masque : le dépendant
Enfant, il a manqué de nourriture et de chaleur affective, il n’a pas été soutenu dans ses attentes. La blessure d’abandon se développe à l’intérieur de soi, de façon passive. Elle engendre une profonde tristesse indéfinissable et, adulte, le besoin d’être pris en charge et au centre de l’attention, risquent de lasser à force de peser.
La personne souffrant de la blessure d’abandon a une grande difficulté à fonctionner seule et a besoin que l’on s’occupe d’elle. Elle recherche les conseils et le soutien de son entourage pour être au centre. Elle a tendance à fusionner dans les relations, à entrer dans les émotions de l’autre, à écouter leurs problèmes pour les ramener à elle. Dans un groupe, elle cherche à occuper le terrain, à être la vedette et à attirer l’attention, afin de ne pas laisser un espace qui risquerait d’être occupé par quelqu’un d’autre. Souvent, elle en fait trop pour obtenir des compliments et se rassurer sur sa valeur. Pour gagner du soutien, elle s’apitoie sur son sort et peut provoquer des drames pour faire pitié (elle parle de malchance) ou se rendre indispensable. Elle souffre du manque loin de l’autre. La solitude la terrifie car elle s’apparente à ses yeux au désert de l’abandon et le pousse au découragement, (« à quoi bon ? »), à l’abandon de ses projets (et des autres quand il trouve plus offrant ?). Elle souffre d’une tristesse profonde sans savoir pourquoi, et peut pleurer beaucoup lorsqu’elle est seule. Son humeur varie d’un jour à l’autre. Devant une personne en colère de l’autre, elle s’écrase et a peur. Vieillir l’angoisse car elle redoute de se retrouver seule et il peut préférer endurer une situation pénible plutôt que de se confronter à ce risque.
3- La blessure d’humiliation
Sa peur : la liberté
Son masque : le masochiste
Enfant qui s’est senti humilié par son parent pour avoir eu du plaisir avec ses sens. Liberté brimée par une attitude méprisante et répressive. Sentiment de honte. En s’occupant des autres, il atténue sa culpabilité tout en s’assurant de manquer de temps pour lui, donc de liberté car il craint de ne pas avoir de limites.
La personne souffrant de blessure d’humiliation met tout en œuvre pour être occupée en aidant ses proches. Se croire indispensable encourage son égo dans son développement. Sous son apparence humble et discrète, se cache un orgueil et un sentiment de supériorité vis-à-vis des autres, qui se remarque dans sa tendance à les infantiliser en voulant tout faire pour eux. Elle vit sous l’idée d’une instance (Dieu, la morale, etc.) qui l’observe et la juge sans cesse, et s’applique à en être digne. S’interdit de dire des choses qui risqueraient de nuire aux autres, à qui elle trouve des excuses. Dans le déni de sa sensualité, elle refuse de se laisser materner et a peur de ses pulsions sensuelles et des débordements dont elle aurait honte. Si elle jouit de la vie, elle craint d’être punie et d’être éloignée de sa spiritualité. Dans l’enfance et l’adolescence, elle a connu des histoires sur un plan sexuel. Elle craint sa liberté et la brime car elle l’associe à l’absence de limite et au risque d’avoir trop de plaisir. Son garde-fou : faire passer les besoins des autres avant les siens et se mettre à leur service. Sa croyance : elle doit alléger les souffrances de l’humanité. Le but : se sacrifier et manquer de temps pour elle, afin de gagner son « ciel » car elle a peur d’être jugée égoïste et indifférente. Elle se sent souvent sale et peut ressentir un vif dégoût pour elle-même. Tendance à compenser avec la nourriture (et à grossir pour s’armer contre ses sens) mais elle culpabilise et ressent de la honte afin de gâcher le plaisir. Elle pratique une autodérision qui fait rire les autres. En s’humiliant elle-même, elle se protège du risque d’être humiliée par les autres.
4- La blessure de trahison
Sa peur : la séparation et du reniement
Son masque : le contrôlant
Enfant, elle a souffert de ne pas voir ses attentes comblées par son parent. Elle s’est sentie trahie ou manipulée. A perdu confiance en celui-ci qu’elle juge irresponsable après avoir été témoin de mensonges ou de faiblesse. Adulte, elle a tendance à se croire indispensable et à penser que les autres ne peuvent pas réussir sans elle. Elle entretient sa blessure par son manque de confiance aux autres.
La personne qui souffre de la blessure de trahison s’est sentie lâchée et cela a engendré une peur de la séparation. Sur ses gardes, elle a beaucoup d’attente vis-à-vis des autres à qui elle veut montrer sa fiabilité et le fait qu’on peut lui faire confiance. Elle cherche à être importante, prenant ainsi beaucoup de place dans un groupe, faisant tout pour convaincre de sa forte personnalité. Elle utilise ses qualités de chef pour imposer ses volontés et garder le contrôle. Elle entretient cette image d’un individu responsable, fort, physique, rapide et aime tout prévoir pour tout contrôler. Méfiante et autoritaire, elle veut prouver qu’elle est responsable et se sent facilement trahie. En réalité, elle est irresponsable car elle accuse les autres de sa propre souffrance et de ses ratés, et les blâme. Elle cherche les honneurs et se montre impressionnée par la célébrité et la richesse. Sa réputation est très importante et si elle la sent menacée, elle n’hésitera pas à salir quelqu’un d’autre. Sûre d’avoir raison, cette personne veut imposer son point de vue aux autres et avoir le dernier mot. Écouter les autres ou les laisser à leur rythme la rend impatiente, voire la met en colère, et elle va trop vite aux conclusions. Quand elle délègue, elle vérifie sans cesse et exige que les autres fassent les choses à sa manière et à son rythme et peut devenir agressive si ça n’est pas comme elle veut. Elle craint que l’on profite d’elle et ne parle donc pas de ses failles et faiblesses. Elle adopte la manipulation sournoise ou agressive pour arriver à ses fins. Sans le savoir, elle développe ainsi sa peur d’être abandonnée ou trahie.
La blessure de trahison est liée à la blessure d’abandon
5- La blessure d’injustice
Sa peur : la froideur
Son masque : le rigide
Enfant, il a souffert de la froideur de son parent et n’a pu s’exprimer selon sa sensibilité dont il a fini par se couper. Il s’est imposé d’être parfait, bloquant l’expression de son individualité. Adulte, il cherche à être conforme à l’idéal qu’il s’est fixé ou qu’il croit qu’on attend de lui, se montrant toujours positif mais, par rigidité, peu capable d’établir une relation intime satisfaisante.
La personne qui souffre d’une blessure d’injustice cherche à « afficher beau temps » et à être parfaite en toute circonstance, en se montrant toujours soignée et séduisante. Même quand elle est fatiguée, elle continue à paraître vivante et dynamique. Elle s’affiche optimiste et positive et admet rarement vivre des problèmes, ou s’empresse de dire que ce n’est pas grave et qu’elle est capable de s’en sortir. Elle contrôle même ses colères et peut passer pour quelqu’un de froid et d’insensible (ce qui n’est pas le cas, au fond). Malgré son obsession de passer pour parfaite et juste, elle peut exagérer un fait ou une accusation sans réaliser qu’elle est injuste envers les autres, comme envers elle-même mais veut faire croire que rien ne la touche. Elle se croit appréciée surtout pour ce qu’elle fait et, du coup, s’en demande beaucoup pour performer. Elle supporte mal les paresseux car elle est toujours dans l’action, et n’accepte pas de flancher ou d’avoir besoin, même malade, de médicaments ou de médecin. Tout pour elle doit être justifiable et elle reprend les autres quand ce qu’ils disent ne lui semble pas assez juste. Elle glorifie les connaissances au détriment des sentiments et a une grosse mémoire dont elle se vante. Quand elle est prise en défaut, elle se justifie quitte à mentir. Elle prépare ses justifications à l’avance. Mais si tout va trop loin, elle pratique l’auto sabotage en perdant pied, et peut devenir cassante et entêtée. Elle raffole des superlatifs : « Génial ! Super ! Fantastique ! Pas de problème ! Trop beau, etc. » Elle refuse l’aide afin de ne pas être redevable et préfère s’épuiser plutôt que de devoir rendre la pareille.
La blessure de rejet est toujours présente derrière la blessure d’injustice.

Le cholestérol est une substance lipidique indispensable au bon fonctionnement de notre organisme. Il est fabriqué par le foie et présent dans les aliments que l’on consomme. Pour être en bonne santé, vous avez besoin de cholestérol parce qu’il accomplit plusieurs fonctions essentielles au bon fonctionnement de votre organisme.
– Près de 90% du cholestérol de notre organisme est consacré aux membranes de nos cellules et à la réparation de nos vaisseaux sanguins endommagés
– Il agit comme constituant de certaines hormones sexuelles (testostérone) ou surrénaliennes (cortisone).
– Il dirige le développement de certaines cellules du foetus
– Il favorise la formation de synapses dans notre cerveau
– C’est un ingrédient de la bile, un liquide qui permet de mélanger les lipides à l’eau pour digérer les graisses alimentaires
– Il est précurseur de la vit D
Le cholestérol est transporté dans le sang par les lipoprotéines ou LDL et les HDL. Le cholestérol total comprends le cholestérol HDL et le cholestérol LDL, que l’on nomme respectivement bon cholestérol (HDL) et mauvais cholestérol (LDL).
Revenons sur le bon cholestérol :
Les lipoprotéines HDL captent le cholestérol qui se dépose dans les artères et le transportent vers le foie ou il est éliminé. Le cholestérol HDL libère les artères de dépôts lipidiques de mauvaise qualité. De 20% a 30% du cholestérol sanguin est lié au HDL.
Le mauvais cholestérol :
Les lipoprotéines LDL, néfaste a l’organisme, fixent le cholestérol sur les parois des artères et entrainent la formation de plaques d’athérome. Le LDL a donc tendance a bloquer les artères, et il est responsable de 60% a 80% du cholestérol qui circule dans le sang. Un taux élevé de cholestérol LDL dans le sang est un facteur de risque important des maladies cardiaques.
Pour faire le point sur les maladies cardio-vasculaires, il faut aussi parler des triglycérides. Ce sont des graisses fabriquées par l’organisme à partir de glucide. Comme le cholestérol, les triglycérides sont des lipides composés de molécules de glycérol et d’acides gras et conservés dans les tissus adipeux du corps. Les triglycérides sont produits dans l’intestin grêle par l’usage des nutriments et pendant la métabolisation des sucres rapides par le foie. Source d’énergie importante, les triglycérides sont toujours présents dans l’organisme.

L’hypercholéstéromie est un excès de cholestérol dans le sang (donc un excès de cholestérol LDL déposer dans les artères >1,6 g/L). Elle n’a pas de symptôme, et ne présente aucun signe clinique permettant de prévoir les complications sérieuses qu’elle peut entrainer, notamment les AVC et infarctus.
Elle est causée par plusieurs facteurs :
– L’âge (augmente avec l’âge)
– Consommation d’alcool
– Régime alimentaire
– Sexe (taux de cholestérol plus élevé chez l’homme que chez la femme)
– Hérédité (on parle alors d’hypercholestéromie familiale, il peut être présent des la naissance par mutation génétique)
– Manque d’activité physique
– Surpoids ou obésité
Il faut savoir que pour les personnes souffrant de pathologie, comme l’hypothyroïdie, le diabète, d’insuffisance rénale leurs taux de cholestérol peuvent être plus élevé.
Le mode de vie jouer un rôle important dans la hausse du taux de cholestérol. Une alimentation riche en sucre et en matière grasses et un manque d’activité physique peuvent causer une augmentation du cholestérol LDL.
Voici les risques :
– Le dépot de plaques (composées de gras de calcium et de cholestérol) et le blocage des vaisseaux sanguins
– Maladies cardiovasculaires, car la circulation sanguin est partiellement bloquée
– Mauvaise circulation sanguine en raison de plaque ou de caillots sanguins, liés a un épaississement du sang
Divers organismes de santé publique ont émis des recommandations alimentaires qui peuvent aider :
- réduire la consommation de matières grasses totales pour qu’elles représentent au plus 35 % des calories totales journalières
- lire les étiquettes sur les aliments et éviter les aliments fabriqués avec des gras trans, hydrogénés ou partiellement hydrogénés (aliments frits, croustilles, beignets, craquelins, margarines dures et pâtisseries)
- augmenter la consommation d’aliments qui contiennent des graisses non saturées (huile d’olive, avocat, saumon et truite, noix et graines non salées)
- Consommer suffisamment de fibres solubles, soit de 10 à 25 g par jour (pains et céréales à grains entiers, avoine, son d’avoine, psyllium, haricots, pois, lentilles, aubergine)
- Inclure des protéines de soja dans l’alimentation.
- manger une poignée (1/4 tasse) de noix et de graines non salées au moins cinq fois par semaine
- choisir des aliments qui contiennent des stérols végétaux comme les grains entiers, les noix, les légumes et les fruits
- gérer son poids en perdant tout excès de poids, en particulier autour de la taille (aide à augmenter votre taux de cholestérol HDL et à réduire votre taux de cholestérol LDL)
- Etre physiquement actif. Faire de l’exercice régulièrement améliore le taux de cholestérol HDL. Toute activité supplémentaire est utile
- Arrêter de fumer. Des études ont montré qu’éviter le tabac peut permettre d’augmenter le taux de cholestérol HDL
Comme dans toutes pathologies, on va aussi se pencher sur la sphère émotionnelle. Prenons comme exemple une personne souffrant de dépression. La dépression déclenche une surproduction par le cerveau de norépinephrine, qui vient stresser les glandes surrénales. Ainsi le taux de cortisol dans le sang va augmenter et entrainer une production en cascade de molécules inflammatoires. Ces molécules viennent attaquer la paroi des artères, notamment les dépôts de plaque de cholestérol etc…. voila comment une émotion et son effet domino impact le corps.
En conclusion on peut dire que les maladies cardio vasculaires résultent de mauvaises habitudes sur le long terme qui auront endommagé la circulation sanguine. Pour éviter des maladies cardio vasculaires on pensera à la prévention en amont en mettant en place de bons gestes et habitudes d’hygiène de vie afin d’éviter un encombrement et un encrassement des liquides du corps, des humeurs.

Les 5 clés de la méthode PERMA :
Motivation + Gratitude + confiance en soi + optimisme + créativité
Le père fondateur de la psychologue positive est Martin Seligman
La théorie du bien être = La méthode PERMA.
P = Emotion positive contribuent a se sentir bien, il n’y a pas que la joie mais de multitude d’émotions positives, comme la tendresse, l’émerveillement, la gratitude, la sérénité. Il est important d’apprendre à mettre ‘le focus positif’, pour résumer cette notion « Quand on cherche quelque chose on le trouve » ce qui correspond à un focus d’attention. Exemple « une femme enceinte verra d’autres femmes enceintes partout alors qu’avant elle n’y faisait même pas attention, elle tombera par hasard sur des émissions pour bebe etc… » . Porter notre attention sur les choses positives. Exercice : On peut avoir un carnet positif, en notant 3 choses positives qui se sont passées dans la journée puis aller sur 5 puis 10 etc…. Cela aidera aussi à penser positivement bien sûr mais aussi à développer un vocabulaire positif pour nourrir ces pensées positives.
E = concerne l’engagement, les personnes les plus épanouies sont souvent dans des actions très engagées, dans le « flow ». Être dans le flow, vivre vraiment le moment présent en se mettant dans une bulle . Le flow étant en lien avec les compétences en vivant des expériences optimales.L’idée avec une personne venant nous consulter et de la faire réfléchir sur des activités qui les font vibrer, qu’elle aime.
Exercice : Il y a un outil qui s’appelle la boussole du flow, sur une échelle de 1 à 10 quels sont les moments ou je suis pleinement efficace et épanouie dans ma vie. Mais le plus, c’est d’y ajouter un niveau de challenge pas trop élevé afin de motiver et toujours y mettre une intention positive afin d’éviter l’adaptation édéniques. Exemple : si je décide de me mettre à courir le matin parce que j’adore courir le matin que cela m’apporte beaucoup de joie et de bonheur, se donner le challenge de se dire dans 3 mois j’arriverai à courir 10kg sans m’arrêter.
R = concerne les relations positives, relations sincères et authentiques avec les autres. Avoir un haut niveau de bien être avec les autres, contribue au bonheur. Les relations nous nourrissent vraiment. Ce sont des relations ou nous y trouvons un confort qu’il faudrait travailler et chercher en dehors de nos proches. Il faut les entretenir, les nourrir, les chercher etc… Avoir de bonnes relations est un réel travail. S’ouvrir aux relations avec les autres quelque soit le format ou le model, téléphone, en face to face etc….
Exercice : lister les 10 personnes que nous côtoyons le plus, avec lesquelles j’ai le plus de communication. Et sur une échelle de 1 à 10, poser 3 questions à chaque personne. Comment je me sens avec cette personne ? comment je la perçois, comment l’autre ce sens avec moi ? A quelle point cette relation me tire vers le haut ? Les résultats peuvent être surprenants. Cela nous permet d’identifier les personnes importantes à ce moment de ma vie et pourquoi ne pas leur envoyer par la suite un message de gratitude. Et pour les personnes ayant un score plus bas, voir comment faire un changement afin d’améliorer cela. Et il ne faut pas avoir honte si les personnes les plus basses sont par exemple le mari, la maman etc… Cela permet de prendre du recul et de changer la donne, car les personnes qui passent à l’action sont les plus heureuses.
M = La recherche du sens de la vie, choisir sa vie et lui donner une orientation. Comment être utile aujourd’hui ? Comment puis- je contribuer à donner un peu de bonheur autour de moi ? On parle de notion d’ Altruisme, de communauté, de citoyenneté etc…
Exercice : mettre une intention pour les autres. comme par exemple faire sourire une personne inconnue aujourd’hui … juste de petites contributions qui peuvent avoir un gros impact émotionnellement, se sentir fiers de soi.
A = le sens de l’accomplissement, le concret. Qu’est-ce que je fais ? La psychologie positive ne s’intéresse pas qu’à un état d’esprit dans la tête comme la pensée positive. Si on ne fait pas d’ actions pour aller mieux on n’observe pas de feedback de son travail. Les accomplissements c’est inviter le bonheur à faire partie de nos actions. Oser sortir de sa zone de confort sans se mettre en danger. Avoir conscience de tout ce que je fais et pas de tout ce que je vis. Quelles sont les actions, les rituels que je fais MOI et pas les autres ? pour mon couple ? ma famille ? mon propre bien-être ? C’est une introspection personnelle sur ce que je fais MOI.
Exercice : il y a 9 piliers de vie, et voir ce que nous faisons dans chacun de ces piliers pour me sentir bien dans ma vie, qu’est ce que je fais ? : dans ma vie amoureuse, dans ma vie familiale, mes plaisirs personnels, mon hygiène de vie, ma maison/ mon environnement, dans ma vie professionnelle, dans mes actions pour le monde, pour mon développement personnel, avec mes amis. A partir de la réponse réellement à ce que nous pouvons améliorer en prenant un pilier par jour et faire un bilan. et répéter cette opération plusieurs fois, afin de savoir où on en est sur l’échelle de bien être, qui nous permet d’entretenir le bonheur.
On doit expliquer aux personnes venues nous consulter l’importance et l’influence de leurs pensées et actions sur leur bien-être. Il faut qu’elles comprennent que la motivation et la volonté sont des énergies puissantes qu’elles possèdent toutes au fond d’elles. Elles doivent les exprimer si elles désirent aller mieux. Il est également important de les aider à faire le point sur leur entourage et de les encourager à se rapprocher des personnes qu’elles apprécient le plus. En passant plus de temps avec ces personnes, en partageant des choses agréables, elles vont retrouver énergie et sens dans la vie.
#1 : ADOPTER LE RÉFLEXE HO’OPONOPONO À CHAQUE INSTANT
Sous notre douche, dans les transports ou avant de partir en voyage, nettoyons !
A chaque pensée qui nous vient, qu’il s’agisse du travail, de la famille … répétons ce mantra de purification. Quand une situation délicate qui provoque de l’émotion se produit, par exemple un échange un peu vif avec quelqu’un, plutôt que de tomber dans le jugement et la critique, nettoyons !
Sachez qu’il est important de nettoyer à chaque instant sans attendre un résultat immédiat. Ainsi, le fait de dire « désolée, pardon, merci, je t’aime » de manière constante va petit à petit devenir un réflexe de chaque instant.
Remarque : à mon sens, il est bon ici de poser une intention particulière à travers les mots… une simple répétition non accompagnée d’intention, ne possède pas le même pouvoir créateur que celle qui est chargée de cette énergie
Astuce : Juste avant de nous endormir, nous pouvons nettoyer notre mémoire en répétant “merci, je t’aime, merci, je t’aime, merci, je t’aime »…
Cela permettrait de nettoyer automatiquement notre intérieur, même en dormant.
# 2 : HO’OPONOPONO : NETTOYER TOUTES LES MÉMOIRES
Attention nuance, il ne s’agit pas uniquement de pratiquer Ho’oponopono quand un problème survient. La pratique d’Ho’oponopono doit se faire de manière constante.
C’est-à-dire qu’il est recommandé de « nettoyer » ses mémoires à chaque instant et pour tout ce qui vient de se produire et qui est en train de se passer. Toute situation du passé, du présent et à venir.
Il est donc nécessaire de le faire pour toute idée, toute pensée, tout projet qui nous vient, pour toute question qui nous est posée, car c’est tout cela qui contribue à nos mémoires.
# 3 : PARLER À SON ENFANT INTÉRIEUR
Le Ho’oponopono nous encourage à dialoguer avec notre enfant intérieur.
Idée : mettez-vous en condition avec une musique de relaxation, par exemple, puis imaginez que devant vous se trouve une version de vous enfant. Laissez doucement venir l’image qui peut être aussi une sensation (son, odeur, goût…) . Cela vous permet de revenir à une époque de votre enfance qui a le plus besoin d’être recontactée.
Présentez-vous à cet enfant et excusez-vous de ne pas vous en être mieux occupé jusque-là. Demandez-lui s’il accepte de parler avec vous. Une fois que vous avez son accord, demandez-lui s’il y a maintenant quelque chose dont il a envie.
Si cela vous semble farfelu, proposez-lui de le faire à un moment précis. Et quand vous le faites, vivez ce moment pleinement. S’il s’agit de manger une barbe à papa, de regarder un dessin animé ou de faire de la balançoire, faîtes-le comme quand vous aviez l’âge de votre enfant intérieur
#4 : HO’OPONOPONO : MÉDITER ET PRENDRE LA RESPONSABILITÉ DE TOUT
Comme vous l’avez compris, il est important d’utiliser les mots mantra, même s’il n’y a pas de problème particulier. La répétition de ces quatre mots va ainsi rendre le nettoyage de plus en plus facile.
Il est essentiel également de prendre à 100% la responsabilité de la situation, des événements, et cela, quoiqu’il arrive.
Être dans cette conscience n’est pas si facile : faire preuve de patience et pratiquer Ho’oponopono au quotidien reste la clé (comme toute démarche spirituelle et intérieure).
Être responsable à 100% implique l’acceptation, le non-jugement et le lâcher prise et c’est en étant à ce niveau de pleine conscience, quoi qu’il arrive, que vont pouvoir s’établir les connexions avec notre enfant intérieur (Unihipili) et notre moi supérieur (Aumakua). A ce moment-là, le nettoyage va se faire plus facilement et de plus en plus automatiquement.
#5 : PRATIQUER SEULE POUR TROUVER L’INSPIRATION
Il faut savoir que ce qui s’efface en nous, s’efface aussi chez les autres. Il ne faut pas oublier que les gens autour de nous, notamment nos proches ou les personnes que nous rencontrons, sont des opportunités. Le but de leur présence est de nous enseigner, de nous montrer ce qui, en nous, ne va pas et a besoin d’être corrigé.
Toutefois, c’est en nous retrouvant seul(e), en restant silencieux(se) le plus possible et en nettoyant, que nous avons le plus de chance d’accueillir l’inspiration.
Nous sommes alors plus unis, connectés. C’est un des cadeaux du Ho’oponopono !

Responsable d’une augmentation du tour de taille, la graisse accumulée au niveau abdominal est particulièrement néfaste pour la santé. Pourquoi ? Comment s’en débarrasser ? Nos réponses et conseils « ventre plat ».
Tout ce qu’il faut savoir sur la graisse viscérale abdominale
Elle correspond à des amas graisseux accumulés au niveau du ventre . Contrairement à la graisse superficielle sous-cutanée, qui peut se plier sous forme de bourrelets, la graisse viscérale est logée plus en profondeur, sous les muscles, au contact direct des organes . Au-delà de son rôle d’amortisseur et d’isolant, cette graisse
est métaboliquement très actives 1. Elle produit notamment des hormones et des substances pro-inflammatoires. Présente en trop grande quantité, elle peut donc finir par dérégler l’organisme et engendrer des troubles tels que des inflammations chroniques, des maladies cardiovasculaires ou métaboliques (diabète, dyslipidémies…).
Les morphologies androïdes sont les plus concernées par l’accumulation de graisse viscérale, avec un ventre plus proéminent et une taille peu marquée. Les hommes sont les plus touchés, quel que soit leur âge. Après la
ménopause, chez les femmes, la graisse aura tendance à se localiser dans le ventre 2.
Face à cette graisse abdominale, nous ne sommes pas tous égaux, puisque des facteurs génétiques entrent en jeu. L’hygiène de vie joue tout de même un rôle majeur. On sait aujourd’hui qu’une alimentation équilibrée, le manque de sommeil, la sédentarité, le tabac, l’alcool et le stress sont des facteurs de risque de développer un excès de graisse viscérale. Il est donc possible de mettre en place des habitudes simples et saines au quotidien, afin de s’en prémunir.
Graisse viscérale : quelle alimentation adopter pour perdre du ventre ?
Afin de s’attaquer à la graisse stockée au niveau abdominal, il sera nécessaire d’adopter un rééquilibrage alimentaire, basé sur une alimentation saine et anti-inflammatoire . Cela passe dans un premier temps par diminuer les apports en glucides, au profit des apports en lipides et protéines. Attention cependant, il n’est pas recommandé de supprimer entièrement les glucides, simplement de les limiter et de mieux les choisir. Il est recommandé de privilégier les sucres complexes, présents notamment dans les céréales complètes ou les légumineuses au détriment des sucres simples, raffinés, ajoutés.
Concernant les lipides, optez pour les acides gras insaturés , que l’on retrouve dans les huiles végétales, les oléagineux, les arachides, les poissons gras et les avocats. A l’inverse, limitez les graisses saturées présentes dans les produits d’origine animale, tels que la viande ou le beurre. Il est conseillé de supprimer totalement les acides gras trans ou graisses hydrogénées, utilisés parfois dans les produits transformés.
Les protéines seront aussi des alliées précieuses pour faciliter la perte de poids et la fonte des graisses abdominales. Elles favorisent la sensation de satiété et boostent le métabolisme. Vous pouvez choisir des protéines d’origine végétale (légumineuses, céréales, soja, quinoa, oléagineux) ou d’origine animale (œufs, viandes blanches, fruits de mer, poissons).
Le bon aliment pour perdre du ventre sera donc un aliment frais, brut, que vous cuisinerez vous-même. Important : les fruits et légumes apportent une grande quantité de fibres, indispensables à la perte de poids . Afin de maigrir du ventre et réduire la graisse abdominale, certains aliments sont malheureusement à limiter le plus possible : les plats tout-prêts, les sucreries, viennoiseries, bonbons, sodas et jus de fruits, tout comme les boissons alcoolisées.
Pour que ces mesures alimentaires soient efficaces, pensez également à pratiquer une activité physique régulière, à mettre en place des solutions pour mieux gérer votre stress et retrouver un sommeil apaisé et réparateur : méditation, relaxation, phytothérapie…
Un complément alimentaire spécifique peut également s’avérer très utile pour vous aider à perdre de la graisse de manière ciblée au niveau abdominal. LIPOCIBLE MGA du Laboratoire LESCUYER contient du Sinetrol, une combinaison naturelle de polyphénols extraits d’agrumes et de guarana. Cet actif contribue à augmenter la dépense énergétique, et favorise la perte de la graisse abdominale. La formule est complétée notamment par du zinc et du curcuma, pour assurer un bon métabolisme des lipides, en soutenant le foie.
Quelques idées de menus pour un ventre plat
Une journée type pour perdre du ventre : Immédiatement après le réveil, et au moins une demi-heure avant le petit-déjeuner, buvez le jus d’un demi-citron dans un peu d’eau à température ambiante.
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, une omelette (1 œuf entier + 2 blancs d’œuf), une tranche de pain complet Snack de 11 heures : un fruit frais de saison Déjeuner : une salade composée avec laitue, thon ou tofu, assortiment de crudités et vinaigrette légère (huile d’olive, jus de citron, moutarde, sel, poivre, herbes et épices au choix)
Snack de 16 heures : un thé vert et une poignée d’amandes Dîner : des lentilles aux légumes grillés (courgettes, aubergines, poivrons, etc.)
Adaptez les snacks en fonction de vos habitudes, de votre faim et de votre activité physique de la journée. Le principal est de s’écouter.
Une semaine de menus pour affiner votre tour de taille : Vous avez déjà une idée ci-dessus pour votre menu de lundi. Voici quelques suggestions pour compléter la semaine.
MARDI
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, des flocons d’avoine dans un peu de lait d’amande et agrémentés de fruits frais et de graines Snack de 11 heures : une barre de céréales maison (avec du muesli, du miel et de l’huile végétale) Déjeuner : du quinoa aux champignons de Paris et un yaourt nature
Snack de 16 heures : une compote de pommes et deux galettes de riz Dîner : une soupe de poulet aux légumes
MERCREDI
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, un smoothie avec 1 banane + lait d’amande ou de soja + 2 càs de beurre de cacahuètes Snack de 11 heures : un fruit de saison Déjeuner : tomates au basilic avec pois chiches et blanc de poulet, un yaourt
Snack de 16 heures : 2 galettes de maïs avec un peu de confiture maison pauvre en sucre Dîner : un poisson avec des légumes grillés
JEUDI
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, 1 œuf à la coque avec 2 tranches de pain complet, 2 petits- suisses Snack de 11 heures : un thé vert avec une poignée de pistaches Déjeuner : une salade avec de la laitue, des tomates, du blanc de poulet, de la feta et une vinaigrette légère (huile d’olive, jus de citron, moutarde, sel, poivre, herbes et épices au choix)
Snack de 16 heures : un fruit de saison Dîner : Un gaspacho et des moules marinières
VENDREDI
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, 2 tranches de pain complet avec un peu de beurre et une tranche de jambon blanc (sans la couenne) Snack de 11 heures : une compote sans sucre ajouté Déjeuner : une escalope de veau avec purée de patates douces, une salade verte, un fromage blanc
Snack de 16 heures : un fruit de saison Dîner : poulet grillé (ou champignons grillés) à l’ail et aux herbes, riz de chou-fleur sauté (avec carottes, petits pois et courgettes)
SAMEDI
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, 2 pancakes aux flocons d’avoine et à la banane Snack de 11 heures : un thé vert Déjeuner : une salade coleslaw, une côte de porc avec des légumes grillés, une compote sans sucre ajouté Snack de 16 heures : un yaourt grec
Dîner : une salade de cœurs de palmiers avec du jambon cru dégraissé et une vinaigrette légère (huile d’olive, jus de citron, moutarde, sel, poivre, herbes et épices au choix)
DIMANCHE
Petit-déjeuner : un thé vert ou un café sans sucre, 4 biscottes avec un peu de beurre, un fruit de saison et un yaourt au sojaSnack de 11 heures : une poignée d’amandesDéjeuner : des gambas grillées avec du quinoa aux tomates, du fromage de brebis
Snack de 16 heures : une compote sans sucre ajouté Dîner : melon, saumon en papillote aux asperges vertes
Qu’est ce qui influence le fonctionnement du système immunitaire ?

De nombreux facteurs affaiblissent ton système immunitaire :
- l’âge, la maladie,
- la malnutrition,
- la sédentarité,
- le stress,
- le tabac,
- l’alcool,
- le surpoids, etc …
D’autres facteurs contre lesquels tu ne peux pas grand chose, impactent aussi négativement ton immunité.
- être né par césarienne,
- ne pas avoir été allaité etc …
A l’inverse, la qualité du système immunitaire peut être favorablement influencée par :
- une bonne hygiène de vie,
- une bonne alimentation,
- la pratique régulière d’une activité physique,
- la naissance par voie naturelle,
- l’allaitement (la maman transmet ses anticorps à l’enfant, ainsi que son microbiote) etc …
Comment stimuler son système immunitaire ?
La vitamine D pour stimuler les défenses immunitaires
La vitamine D (plus précisément la vitamine D3) est directement liée à la qualité de ton système immunitaire . Nombre de tes globules blancs ne sont activés qu’en présence de Vitamine D3, sans ça : ils ne sont pas efficaces ! Elle est donc indispensable au bon fonctionnement du système immunitaire.
Seulement voilà, on trouve peu de vitamine D au niveau alimentaire : il y en a dans le poisson, dans les œufs .
Ton corps peut aussi synthétiser cette vitamine D, c’est-à-dire la fabriquer lui-même … Mais il lui faut des rayons du soleil !
Ce n’est que lorsque ta peau sera exposée au soleil (avec modération bien sûr) que ton corps pourra fabriquer de la vitamine D ….
Alors que faire ? Déjà manger du poisson et des œufs plusieurs fois par semaine. Mais ça ne suffira pas. Donc, il faut se supplémenter en Vitamine D.
Quelle vitamine D choisir ?
Je te conseille bien évidemment une vitamine D d’origine naturelle et surtout d’en prendre une dose chaque jour, plutôt qu’une grosse ampoule de 25000 UI. Ainsi tu apportes une dose quotidienne efficace sans surcharge.
Quelle dose de vitamine D prendre ?
Les recommandations en termes d’apports journaliers (200 UI /j) sont assez basses..
On peut monter à 1000 UI par jour pour être efficace.
La vitamine C pour renforcer les défenses immunitaires
Vitamine antioxydante par excellence, le rôle protecteur de la vitamine C sur le système immunitaire n’est plus à démontrer. Son taux est très élevé dans les phagocytes et les lymphocytes T (2 types de globules blancs). Elle est donc indispensable au fonctionnement du système immunitaire.
On trouve facilement de la vitamine C dans l’alimentation :
- les agrumes,
- les kiwis,
- les légumes verts en général,
- les choux, chou fleurs, brocolis…
Avant l’hiver, tu peux éventuellement faire une petite cure de vitamine C d’origine naturelle issue de l’acérola pour renforcer ton système immunitaire.
De nouvelles formes de vitamines C sont désormais disponibles comme la vitamine C liposomale, mieux assimilable par l’organisme.
Sache également que la vitamine C est encore plus intéressante pour renforcer le système immunitaire si elle est couplée au zinc .
On trouve du zinc dans l’alimentation :
- les fruits de mer,
- les huîtres,
- le foie,
- les graines de sésame,
- les légumineuses.
Le magnésium : allié du système immunitaire
Le magnésium est l’un des minéraux qui à le plus de rôles dans l’organisme. Dans le système immunitaire, il permet la fabrication des immunoglobulines (anticorps).
Entretenir son microbiote intestinal pour renforcer son système immunitaire
Comme tu le sais peut-être, tu n’es pas seul dans ton corps.
Sur et dans ton organisme,vit une quantité impressionnante de micro-organismes qui ne sont pas là pour rien. Ces petits habitants sécrètent certaines substances pour toi et constituent la barrière intestinale.
Si tu es en forme, ils sont en forme. Si tu vas mal, ils vont mal…
Quel rapport avec le système immunitaire ?
Tu as peut-être entendu cette expression souvent utilisée : l’intestin est notre deuxième cerveau.
De nombreuses recherches et études encore en cours montrent à quel point l’intestin est le siège de la santé, et à quel point le microbiote a une influence sur tous les autres systèmes de l’organisme. On ne le dit jamais assez tout est lié ! Ainsi donc, ton microbiote dans sa fonction de barrière intestinale influence ton système immunitaire.
Ainsi un microbiote équilibré, c’est une barrière intestinale de qualité et donc un système immunitaire ménagé, qui restera efficace.
Parce que si ton système immunitaire passe son temps à gérer des molécules qui n’ont rien à faire dans ton corps, juste parce que la barrière est une vraie passoire : et bien c’est le bazar ! Et tes défenses ne sont plus efficaces là où on a vraiment besoin d’elles !
Donc pour un système immunitaire fort et efficace pour lutter contre les infections : pense aussi à ton microbiote !
Comment entretient-on sa flore intestinale ?
On entretient son microbiote (et indirectement son système immunitaire) par voie alimentaire en priorité.
Manger des probiotiques naturels :
Ce sont des aliments fermentés (donc qui contiennent des bactéries amies) et qui vont donc créer un environnement favorable à tes petits locataires…
Il s’agit par exemple
- des yaourts,
- du kéfir,
- des cornichons,
- de la choucroute
- de tous aliments lacto-fermentés.
Bien-sûr on n’en abuse pas non plus !
Manger des prébiotiques :
Les prébiotiques, c’est la nourriture de tes bactéries-amies. Il s’agit des fibres.
Donc tout ce qui contient des fibres est bon pour le microbiote et donc indirectement pour l’immunité :
- aliments complets,
- fruits,
- légumes etc …
A noter que l’ail, l’échalote, l’oignon (frais) sont d’excellents prébiotiques !
Les produits de la ruche : alliés du système immunitaire
La propolis :
C’est une substance fabriquée par les abeilles à partir de la matière résineuse des végétaux. Elles s’en servent pour assainir la ruche. Parmi ses nombreuses vertus, la propolis va favoriser la logistique entre toutes tes cellules immunitaires et améliorer leur coordination et leur efficacité.
La propolis agit également directement sur les micro-organismes quand tu es malade … Un véritable intérêt pour l’immunité mais aussi pour la lutte antivirale directe.
Quelle propolis choisir ?
Choisis la de qualité, sous la forme que tu préfères.
Attention cependant, elle peut être allergène.
Donc pour les personnes au terrain allergique : mieux vaut s’abstenir…
Il est recommandé de ne pas dépasser 3 semaines de cure, pour une immunité au top.
La gelée royale :
Autre produit de la ruche, elle est fabriquée par les abeilles pour nourrir la reine et les larves de la colonie. Elle est très riches en nutriments et micronutriments (vitamines, protéines)
Elle stimule aussi le système immunitaire.
Donc une petite cure de gelée royale peut s’avérer intéressante également à l’arrivée de l’automne !!

Le rôle du sommeil
Le sommeil est un temps de repos de l’organisme, certes, mais aussi et surtout un temps dédié au nettoyage et à la régénération du corps.
C’est pendant ce temps de repos que ton corps se débarrasse de ses acides accumulés, dus à ton métabolisme, mais aussi à ton environnement, que tes cellules se reconstruisent, que tu grandis si tu n’as pas fini ta croissance etc…
Ton corps fait donc ce qu’on appelle de l’anabolisme : c’est-à-dire de la construction , traduite par une augmentation de la synthèse des protéines et de la division cellulaire nocturne.
Mais l’organe le plus impacté par le sommeil : c’est indéniablement le cerveau !
Il en a besoin pour sa propre maturation mais aussi pour le bon fonctionnement de l’ensemble du système nerveux central.
Ainsi mémorisation, traitement des informations et apprentissages des tâches nouvelles sont corrélées au gros dodo !
Que faire pour retrouver un meilleur sommeil ?
Hygiène vitale de base
Dans un premier temps assure-toi de respecter des mesures d’hygiène de base qui relèvent assurément du bon sens, mais qui méritent néanmoins d’être mentionnées.

- Limiter sa consommation de café, particulièrement à partir du début d’après-midi.
- Dormir dans une literie convenable, confortable et propre
- Se coucher à une heure raisonnable, préférentiellement avant 23h car le sommeil profond précédent minuit sera de meilleure qualité et plus réparateur
- Limiter les écrans au moins une heure avant le coucher
- Dîner au moins 2 heures avant l’heure de coucher
- Maximiser le calme avant le coucher et durant la nuit (quitte à utiliser des bouchons d’oreille si besoin)
- Utiliser des lunettes anti-lumière bleue contre la luminosité des écrans
- Ne pas dormir avec la télé allumée
- Aller se coucher dès que la sensation d’endormissement fait son apparition, ne pas rester devant la télé sur le canapé.
- Veiller à s’installer dans l’obscurité pour dormir
- Veiller à garder une heure de coucher régulière dans la mesure du possible.
- Coller à ses besoins en terme de quantité de sommeil
- Créer un climat favorable à l’endormissement dans la chambre (température relativement fraîche (18 °C), éventuellement diffusion d’huiles essentielles relaxantes et apaisantes comme l’orange douce ou la lavande fine, avant le coucher)

Gestion du stress
Apprends à gérer ton stress, à le domestiquer. C’est un outil que tout le monde doit utiliser pour prendre de la hauteur et mieux appréhender les situations. Gérer son stress, c’est éviter la rumination mentale en soirée, mais aussi la sécrétion trop importante et déréglée du cortisol qui maintient le corps en éveil.

Luminothérapie
Autre possibilité, concernant le manque de lumière diurne : l’exposition quotidienne à une lampe de luminothérapie durant 10 à 15 mn le matin (au petit déjeuner par exemple) peut améliorer la qualité du sommeil et la faculté d’endormissement par une amélioration de la sécrétion de la mélatonine.
Développement personnel
Te questionner sur ta vie, faire le point, estimer si cette vie te convient ou non et prendre les décisions qui s’imposent pour obtenir la paix intérieure et la sérénité est également indispensable à un sommeil efficace.


Alimentation
Pour favoriser des sécrétions hormonales optimales de mélatonine, l’hormone du sommeil, il est également nécessaire d’apporter par l’alimentation des acides aminés qui interviennent dans sa synthèse. Ou plus exactement dans la synthèse de la sérotonine, une autre hormone, qui est le précurseur de la mélatonine. Autrement dit : la mélatonine est fabriquée par ton corps à partir de la sérotonine. L’acide aminé essentiel nécessaire à la synthèse de cette sérotonine, c’est le tryptophane.
On trouve du tryptophane dans le riz complet, la volaille, les œufs, le soja, les arachides, le poisson, les légumineuses, le chocolat noir, la banane, les amandes, les noix de cajou.
Le magnésium et la vitamine B6 seront également essentiels.
De façon plus générale, une alimentation équilibrée, riche en vitamines et minéraux et plutôt frugale le soir, ne sera que bénéfique à ton sommeil.
Activité physique
L’activité physique et même le sport à proprement parler est un excellent facteur de bon sommeil. Le sport permet d’évacuer le stress, les tensions, et engendre également une fatigue physique et musculaire saine qui déclenche un bon sommeil réparateur.

Alors que faire pour mieux dormir ? Quelques propositions de traitements naturels

Il n’y a pas vraiment de traitement naturel, plutôt des coups de pouce qui pourront t’aider à l’endormissement et faire barrage à l’insomnie, mais qui ne régleront pas le problème de fond.
Sache que l’insomnie et le manque chronique de sommeil constituent un facteur favorisant les problèmes de santé : tout simplement parce que ton corps ne peut accomplir toutes les fonctions énoncées ci-dessus.
Si tu souffres d’insomnie et que tu n’arrives pas à dormir, il est important de trouver d’où vient le problème, de trouver la cause, pour améliorer la qualité de ton sommeil.
Les causes d’un mauvais sommeil peuvent être variées : stress, événement émotionnel perturbant, dépression, troubles hormonaux, contexte de vie etc…
Malgré tout, voici quelques conseils simples qui pourront t’aider à l’endormissement
Oublies le café de l’après-midi pour mieux dormir
Ce café que tu bois parfois sans regarder l’heure qu’il est (après 15h) il te fait beaucoup de mal : c’est une cause fréquente d’insomnie.
Et tu connais le coupable : la caféine ! Si tu as envie d’une boisson chaude l’après-midi, choisis plutôt une infusion car le café influe négativement sur la qualité du sommeil.
Le dîner léger et pas trop tard
Le repas du soir ne doit pas être trop lourd et être pris au moins 2h avant de se coucher.
La digestion doit être déjà bien entamée avant que tu n’ailles te mettre au lit car ton corps a déjà beaucoup de choses à faire et si on peut lui éviter de dépenser son énergie à digérer un repas lourd et pris trop tard, il te dira merci.
Tu noteras également qu’il vaudra mieux éviter les viandes le soir, ces protéines étant les plus compliquées à décomposer pour ton estomac.
Se coucher l’estomac plein favorise les difficultés d’endormissement, l’insomnie et le sommeil de mauvaise qualité.
Le retour au calme avant de se coucher pour un meilleur sommeil
Au moins 20 mn avant de te coucher : coupe tous les écrans : exit les portables, tablettes, ordinateur etc… pour limiter le risque d’insomnie.
La lumière bleue de l’écran agit sur ton horloge interne et peut nuire à la qualité du sommeil, donc laisse ton organisme se préparer au repos. Lire quelques pages d’un bon livre est bien plus judicieux !
Coupe également le wifi dans ta maison. Les ondes peuvent perturber ton sommeil. Elles sont nocives pour ton cerveau, donc quand tu n’en as pas l’utilité : coupe pour éviter l’insomnie !
Aller au lit quand celui-ci t’appelle
Durant la soirée, le moment où tu vas sentir la somnolence t’envahir : c’est le moment d’aller te coucher !
Tu bailles, tes yeux se ferment… c’est maintenant qu’il faut te coucher dans ton lit ! Après ce sera trop tard !
Si tu t’endors sur le canapé, le réveil au milieu de la nuit sera horrible et le rendormissement dans ton lit sera difficile. C’est là que l’insomnie peut justement arriver : tu as dormi une heure sur ton canapé, tu vas te coucher dans ton lit, et là tu ne te rendors plus !
Dans la même idée : pour ceux qui ont la télé dans la chambre, mieux vaut l’éteindre quand tu sens la somnolence. S’endormir la télé allumée n’aide pas à avoir un sommeil réparateur à cause du bruit et de la lumière qu’elle émet.
La relaxation, l’apaisement : clé d’un meilleur sommeil
Une fois que tu es couché : calme ton esprit et essaie de ne pas réfléchir (oui je sais, plus facile à dire qu’à faire…). Comme expliqué plus haut, la rumination est une cause majeure d’insomnie.
Décris chaque muscle de ton corps. Pratique une respiration abdominale : gonfle ton abdomen lorsque tu inspires, aplatis le lorsque tu expires.
Concentre-toi sur cette respiration calme et profonde, en conscience.
Si ton esprit s’égare à nouveau, vers les soucis quotidiens, ramène le tranquillement à ta respiration. Cette pratique régulière peut faciliter le sommeil, et avec un peu d’entraînement, elle peut limiter le risque d’insomnie.
Les tisanes du soir pour mieux dormir
Une tisane idéale pour le soir : la mélisse.
A la fois digestive et sédative, elle te permettra à la fois de digérer ton dîner et de te calmer tout en douceur : moins de risque d’insomnie et un sommeil apaisé.
La tisane de mélisse a l’avantage d’avoir un goût agréable et pas trop fort, si tu n’es pas habitué aux tisanes de plantes.
D’autres plantes sont également favorables à l’endormissement : la valériane, la passiflore, la verveine, le tilleul…
Les huiles essentielles qui favorisent le sommeil
De nombreuses huiles essentielles pourront créer une atmosphère qui facilite l’endormissement dans ta chambre.
A diffuser 15 mn au coucher. Tu n’as pas de diffuseur ? Pas grave ! Une goutte sur un mouchoir, près de toi fera l’affaire. A toi de choisir l’odeur qui te plaira le plus.
Attention en cas de grossesse ou d’allaitement il est déconseillé d’utiliser des huiles essentielles sans être accompagné par un thérapeute. Également pour les enfants en bas âge (moins de 6 ans)
- Les huiles essentielles d’agrumes (attention sauf le citron)
L’orange douce, la mandarine verte, le petit grain bigarade sont connues pour favoriser le sommeil.
- L’huile essentielle de lavande fine (aussi appelée lavande vraie, lavande officinale)
Attention il existe plusieurs autres lavandes, ne te trompe pas , elles n’ont pas les mêmes contre indications!
- L’huile essentielle de camomille romaine :
Une odeur particulière, mais qui peut convenir à certains.
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